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Par Marie-Andrée30 le 9 Juin 2017 à 20:36
Bandages, massages cardiaques, bouche-à-truffe (si, si)… Ce week-end, quelques dizaines de personnes, de tout âge et de tout milieu – dont toutefois une majorité de femmes –, se sont formées aux premiers secours pour animaux. Un cours organisé à Avignon et moi même j'en faisait partie.
Vraiment utile? Le Dr Alessandro Capozzi, vétérinaire à Carouge , en est convaincu: «De nombreux chiens ou chats pourraient être sauvés si leurs propriétaires savaient que faire lorsqu’ils sont confrontés à une situation d’urgence… Or, malheureusement, le temps qu’ils arrivent chez le vétérinaire, c’est souvent trop tard. Il faudrait qu’ils puissent être, au contraire, le premier maillon de la chaîne.»
«Je veux savoir que faire»
Pour enseigner ces gestes qui sauvent version quatre pattes, il a fait appel à de vrais pros, dont Kimberley Johnson, brevetée en la matière aux Etats-Unis, là où les secouristes animaliers existent depuis longtemps. «L’objectif n’est en aucun cas de remplacer le vétérinaire, assure-t-elle, mais d’apprendre à former une équipe solide avec lui.» Et le concept a fait tilt puisque le Dr Capozzi a dû refuser plus d’une trentaine de participants, faute de place. «On va proposer de nouvelles dates début avril et fin septembre», assure-t-il.
Parmi les premiers apprentis secouristes, Hugo, jeune propriétaire d’un petit bouledogue femelle de 3 mois: «C’est une race qui a facilement des problèmes, notamment au niveau respiratoire. Je veux savoir que faire au cas où.» Idem pour Andrew: «J’ai constamment des mésaventures avec mon chien; récemment, il a failli se noyer en glissant dans l’Arve. Une autre fois, il est tombé dans le trou d’une canalisation. Tout propriétaire d’animal devrait suivre de tels cours. Comme pour les humains.»
D’autant que, comme le souligne Valérie, la seconde formatrice, dans certaines situations si on ne fait rien, c’est la fin: «Imaginez que votre chien fasse un malaise ou ait un accident en balade. Vous seul pourrez intervenir… L’ambulance ne va jamais arriver pour lui!»
Il est important, en revanche, de ne pas voler au secours d’un animal qui n’est pas le sien: «La formation de secouriste pour animaux n’est pas reconnue en Suisse ou en France, où l’animal a toujours le statut de chose. Par conséquent, si cela se passe mal, le propriétaire pourra porter plainte contre vous…»
Pas question, non plus, de se mettre en danger pour soigner son protégé. «L’animal le plus gentil peut se transformer en véritable fauve en cas de douleur», assure Kimberley Johnson, en faisant appel à son équipière canine, «Fun», un berger américain de 5 ans, pour expliquer comment se préserver d’un coup de croc en le muselant avec une lanière.
Exercices sur peluches
Pour les exercices pratiques, «Jerry» et «Compressor», ainsi qu’un chat blanc sans nom – les mannequins peluches – prennent le relais. «Si vous leur cassez une côte, pas de problème, ils ne sont pas rancuniers», assure Valérie en souriant. Situations d’urgence les plus courantes (coup de chaleur, étouffement dû à un objet coincé, hémorragie), analyses de l’état de l’animal (en observant notamment les muqueuses), gestes à effectuer… ou pas, pour lui venir en aide, mais aussi «bobologie» (oreille déchirée): les apprentis secouristes n’ont pas chômé. «C’était intense mais passionnant. Maintenant, il va falloir assimiler tout ça et s’entraîner chez soi, notamment, pour faire des bandages, confie Solange… On se sent un peu plus armé. Reste encore à savoir gérer son stress au cas où…» Tout comme moi lancez vous,vous serez quoi faire au cas ou....
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Par Marie-Andrée30 le 9 Juin 2017 à 16:57
L'alimentation.
Les protéines sont des
chaînes d'acides aminés
aussi nombreuses que
variées. Il faut savoir
que le corps du chien
s'appuie sur 22 acides
aminés différents, dont
une partie est produite
par le foie, et l'autre
trouvée dans l'alimentation
du chien.Tout cela permet
la constitution de
nombreuses protéines
du chien essentielles
à son développement
corporel. Je vous en dit davantage dans cet article !
Protéines pour chien : caractéristiques
Au cours de sa vie, unchien a des besoins en protéines qui évoluent.
Une bonne alimentation
du chien lui permet de
recevoir toutes les
protéines dont il a
besoin. Cela lui assure notamment un bon
développement musculaire
et une forme olympique.
En cas de carences, ilexiste des protéines
pour chien sous forme de compléments alimentaires.
Ces produits vétérinaires peuvent être donnés en complément de l'alimentation
si le chien en a besoin.
Malgré tout, il estimportant de faire très attention à l'équilibre alimentaire du chien, pour veiller à ce qu'il n'ait ni carences ni excès.
Le rôle des protéineschez le chien.
Tout comme chez l'homme,les protéines ont un rôle essentiel dans l'organisme
du chien. Elles participent
en effet :
• à la formation du corps :elles garantissent la
puissance des muscles, la solidité des os, etc.
Elles ont donc un rôle essentiel dans la croissance
du chiot.
• au fonctionnement ducorps : elles appuient le système immunitaire et
assurent les fonctions essentielles de l'organisme
du chien.
Opter pour des croquettes ou une alimentation riche en protéines est donc essentiel pour assurer la bonne santédu chien. Pour autant, mieux vaut bien contrôler les
apports en protéines,
car des excès peuvent être aussi dangereux que des carences.
Bon à savoir : les protéines (hors lipides) formentjusqu'à 20 % de l'organisme
de l'animal. C'en est donc
le constituant le plus important, après l'eau.
Pour comprendre les applications pratiques
sur le plan alimentaire, il faut se pencher
sur la physiologie digestive et s’intéresser
aux notions de base. Deux types de
mécanismes sont importants pour la
digestion. Il s’agit du transit
(grâce auquel les aliments peuvent
avancer dans le tube digestif) et
des sécrétions digestives (qui vont
permettre la digestion des aliments).
Le tube digestif est composé de la
cavité buccale, du pharynx, de
l’œsophage, de l’estomac, de
l’intestin grêle constitué du
duodénum, du jéjunum, de l’iléon,
du gros intestin constitué du cæcum,
du rectum, du côlon et de l’anus.
La mastication.
Le chien prend la nourriture grâce à ses
dents, puis la mâche plus ou moins
longtemps. Cette phase de la prise
d’aliments est très importante pour
la bonne digestion. Les aliments sont
broyés grossièrement et imprégnés de
salive ; cela facilite leur assimilation.
La nature de l’aliment à ingérer va
influencer la vitesse de préhension et de mastication. Le chien ensuite déglutit.
Il peut cependant arriver des incidents :
- l’animal « aspire » l’aliment
- il ne mâche pas et déglutit directementaprès la préhension
Les deux cas entraînent une mauvaise
digestion, et un risque de régurgitation.
Les causes de ces incidents peuvent être,
pour la mauvaise préhension :
- une douleur de la bouche ou de lamâchoire
- un chiot trop « pressé »L’absence de mastication est plutôt due à :
- une douleur dentaire
- l’état de délabrement de mâchoire(vieux chien sans dents)
- des poussées dentaires (chiot et jeunechien)
En conséquence, selon le cas il faudra :
- « apprendre » au chiot à mâcher endivisant la ration pour le calmer
- vérifier l’état de la bouche et des dents
- donner une alimentation molle lors de problèmes de dentitionLa déglutition.
C’est un mécanisme qui va permettre le
passage des aliments vers l’œsophage et
non pas vers la trachée, ce qui entraînerait
une fausse déglutition.
Il se déroule ainsi :
1. La mastication cesse.
2. La langue s’applique contre le palais et chasse l’aliment vers l’arrière.
3. Le voile du palais se relève pour fermerla communication avec les cavités nasales.
4. Une contraction du pharynx amène lesaliments vers l’entrée de l’œsophage.
5. L’épiglotte se renverse et obstrue lelarynx (déjà en partie obstrué par la base
de la langue).
6. La respiration est inhibée.Dès que les aliments sont dans l’œsophage,
une onde de contractions va les faire progresser. La coordination se fait par
le centre de la déglutition, qui se
trouve dans le bulbe à hauteur du
système nerveux central. Lors d’une
anesthésie, il peut y avoir des «
fausses routes », c’est-à-dire une
orientation de salive ou de vomissements
vers la trachée.
C’est pourquoi, il est important de mettre
les animaux à jeun avant de les anesthésier. Quand tout se déroule normalement,
l’animal déglutit chaque bouchée mâchée en levant légèrement la tête et en tendant
le cou.
Les incidents possibles sont :
- une fausse déglutition ; les alimentspassent dans la trachée
- une régurgitation, si la déglutition est difficileOn peut envisager pour causes
- des problèmes anatomiques de naissance (mégaoesophage, malformations)
- une ingestion trop rapide
- une « angine »
- une tumeur qui compresse l’œsophageComment réagir ? Selon le cas, il faudra :
- surélever la gamelle afin que le transitdans l’œsophage soit plus facile
- faire un transit baryté pour vérifierensuite avec une radiographie l’endroit
où l’aliment « coince »
Le transit gastrique
Arrivés dans l’estomac, les aliments vont
subir un certain nombre de mouvements de brassage visant à les mélanger aux
sécrétions gastriques, et à les faire
avancer vers le pylore qui les fera
pénétrer dans l’intestin. Le mauvais fonctionnement du pylore peut entraîner des vomissements.
Chez le chien, l’estomac est très
développé et le temps de séjour des
aliments y est très élevé. Chez un homme
de 70 kg la contenance de l’estomac est
de 1 l à 1,4 l tandis que chez un chien
de 20 kg elle est de 3 l.
Le transit intestinal
Il est assuré par les muscles de la paroi
de l’intestin. La défécation marque la fin
du transit. Elle se fait à la fois par une activité de l’intestin lui-même et par une activité de presse abdominale (contraction
de la musculature abdominale). Le mauvais transit gastrique peut entraîner des vomissements et le mauvais transit
intestinal entraîne des diarrhées ou constipation.
La salive
La salive est sécrétée dans la cavité
buccale. Elle est essentiellement aqueuse, incolore et filante.
La salive va imbiber les aliments,
contribuer à la formation du « bol
alimentaire » grâce au mucus quelle
contient et favoriser la déglutition.
La salive est donc primordiale pour une bonne digestion. La sécrétion de salive est permanente, mais diminue de façon
importante pendant le sommeil.
Le volume de salive sécrétée par
jour chez le chien est de 0,4 l.
Les sécrétions gastriques
Certaines cellules fabriquent du mucus
qui va tapisser la muqueuse gastrique
de manière à la protéger, d’autres
sécrètent de l’acide chlorhydrique,
et d’autres encore sécrètent la pepsine ;
cette enzyme attaque les protéines
alimentaires et commence donc la
digestion. Puis, des cellules sécrètent
une hormone, la gastrine, qui règle un
certain nombre de mécanismes digestifs,
en particulier ceux concernant l’estomac.
Le suc gastrique est dangereux en trop grande quantité ; il existe donc un système de régulation. Les saveurs et odeurs arrivent
très précocement : au moment du repas du
chien. Cela entraîne la sécrétion d’acide chlorhydrique. Cette stimulation provoque
une sécrétion de gastrine, qui active
également la sécrétion d’acide
chlorhydrique.
Puis, une distension de l’estomac excite à
son tour la sécrétion de gastrine. Ensuite
une stimulation chimique par certains
aliments va entraîner la sécrétion
gastrique. Par ailleurs, de l’histamine
est libérée localement et stimule elle
aussi la sécrétion d’acide chlorhydrique.
Le rôle de la digestion gastrique est de commencer la digestion protéique grâce à la pepsine et à l’acidité. Son importance est primordiale chez les chiens dont la ration
est très riche en protéines. Une mauvaise sécrétion de toutes ces enzymes empêche une bonne digestion des protéines.
Le suc pancréatique.
Il provient du pancréas. C’est un suc
digestif très important car il contient
un grand nombre d’enzymes capables de
digérer tous les constituants de la
ration du chien :
- des enzymes lipolytiques, comme leslipases attaquant les graisses
- des enzymes protéolytiques : la trypsine,la chymotrypsine poursuivant la digestion
des protéines qui a été commencée dans
l’estomac par la pepsine.
La bile.
La bile est sécrétée par le foie.
C’est un liquide très amer, de couleur
jaune verdâtre, filant, qui arrive dans
le duodénum par le canal cholédoque soit directement, soit après avoir été stocké
dans la vésicule biliaire.
La bile contient des sels biliaires
constitués à partir du cholestérol,
ainsi que des pigments biliaires,
en particulier la bilirubine, qui
provient de la dégradation de l’hémoglobine.
Le rôle principal de la bile est de favoriser la digestion des lipides.
En effet, pour que les lipides puissent
être digérés par la lipase du suc
pancréatique, il faut que ces molécules de lipides aient été préalablement fractionnées par les sels biliaires. Lorsque la sécrétion de bile est insuffisante, les graisses ne sont pas ou sont mal digérées ; les autres constituants du chyle sont enrobés par ces graisses et mal digérés à leur tour, ce qui favorise le développement de micro-organismes ; les selles seront grasses et nauséabondes.
Si les sécrétions digestives souffrent d’un mauvais fonctionnement, la digestion des constituants de base n’est pas assurée.
On y remédiera par un traitement spécifique et/ou une adaptation du régime alimentaire : sans amidon, ou sans protides, ou sans
lipides.
L'absorption des différents nutriments
Elle se fait principalement au cours du
passage dans l’intestin grêle, dont la
muqueuse comporte un grand nombre de replis formant chacun des villosités délimitées
par des cellules. Les divers constituants
de la ration alimentaire sont digérés et absorbés .
- dans la bouche, attaque par l’amylase salivaire
- dans le duodénum : attaque par l’amylase pancréatique• Pour les protéines :
- dans l’estomac : attaque par la pepsine favorisée par le milieu acide
- dans le duodénum : attaque par les enzymesdu suc pancréatique
• Pour les lipides :
- dans le duodénum : attaque (lorsque dessels biliaires sont présents) par la lipase pancréatique et pénétration dans les
cellules intestinales.
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Par Marie-Andrée30 le 9 Juin 2017 à 10:51
Huiles essentielles : les intoxications du chien et du chat
Chiens, chats, huiles essentielles, mode d’emploi
Les huiles essentielles, ces extraits de plantes obtenus après distillation sont connus pour leurs vertus diverses et variées. Leur utilisation est
particulièrement intéressante pour leurs nombreuses propriétés.
Si elles font partie de votre quotidien, sachez néanmoins qu’elles
s’utilisent différemment chez l’animal de par sa physiologie,
sa peau, son pelage, son odorat développé et son naturel à se lécher.
Alors, pour le chien ou le chat, oui on utilise des huiles essentielles
mais sous conditions. Certaines peuvent être dangereuses pour vos
compagnons, voire mortelles, alors est-il indispensable de s’informer
et respecter les précautions d’emploi.
Pourquoi utiliser des huiles essentielles chez l’animal de compagnie ?
Prévenir des affections, des maladies, des parasites pour protéger
un animal est le devoir de tous les maîtres et les huiles essentielles
vont y aider et contribuer à son bien-être et à sa bonne santé.
C’est une façon efficace, douce et naturelle d’y parvenir, d’autant
qu’une même huile peut avoir plusieurs actions.
Dans quels cas peut-on utiliser des huiles essentielles ?
Les huiles essentielles peuvent être utilisées en soin ou en prévention
(en complément, bien entendu, d’une bonne hygiène de vie et de soins
adaptés au besoin), notamment pour :
- Soigner des plaies, aseptiser (Ahibéro, Cèdre de l’Atlas, Lavande, Lavandin super)
- Calmer ou prévenir de diarrhées, de spasmes, d’allergies
- (Basilic tropical, Lavande, Lavandin super)
- Soigner la peau en cas de dermatose (Camomille romaine,
- Laurier noble)
- Réduire le stress, l’anxiété (Camomille romaine, Lavande)
- Tenir à distance les puces, les tiques, les moustiques
- (Cèdre de l’Atlas, Citronnelle de Ceylan, Eucalyptus
- citronné, Géranium rosat, Lavande)
- Calmer des démangeaisons (Eucalyptus citronné)
- Soulager les troubles ORL comme les sinusites, les toux,
- l’asthme (Eucalyptus mentholé, Hysope couchée)
- Lutter contre les bactéries, microbes, virus, champignons
- (Girofle, Laurier noble, Menthe poivrée, Niaouli, Origan compact, Ravintsara, Tea tree)
- Calmer les douleurs, avoir une action anti-inflammatoire
- (Eucalyptus citronné, Gaulthérie couchée, Genévrier,
- Géranium rosat, Katafray, Menthe poivrée, Tanaisie annuelle,
- Tea tree)
- Lutter contre les allergies (Lavande aspic, Tanaisie annuelle)
- Favoriser la cicatrisation (Lavande, Lavandin super)
- Prévenir du mal des transports (Menthe poivrée)
Comment utiliser les huiles essentielles ?
Elles peuvent être administrées par inhalation, ingestion ou en
application locales sur le corps.
Chaque huile a ses propriétés, chaque mélange d’huiles doit se
faire en respectant des proportions déterminées, et selon qu’il
s’agisse d’un chien ou d’un chat les précautions devront être
respectées pour ne pas se transformer en poison pour l’animal.
S’agissant d’un chien, le choix de l’huile se fera notamment en
fonction de l’effet recherché, les quantités en fonction de sa taille
et le mode d’administration en fonction des recommandations
faites pour la ou les huiles.
Pour le chat, c’est différent. Tout d’abord, le chat a une faculté
olfactive incroyable. Les quantités doivent donc être
particulièrement limitées. Par ailleurs, comme il lui manque
une enzyme hépatique, la transformation et l’élimination des
substances se fait lentement. Ainsi, les doses doivent être
restreintes dans leur quantité et dans la durée. Enfin, ce petit
félin se lave en se léchant fréquemment ; il est donc inévitable
qu’il ingère des poils qui contiendraient des substances étalées
sur son pelage.
Comment bien utiliser des huiles essentielles ?
Il est préférable de demander l’avis d’un spécialiste au préalable
(vétérinaire ou aromathérapeute). Celui-ci vous confirmera les
bienfaits et les posologies et modes d’administration à respecter.
Il vous conseillera certainement de réaliser des tests sur des petites
zones 48 heures avant une application généralisée. Les animaux sont
comme nous, êtres humains, potentiellement allergiques, ne
l’oublions pas.
Il est contrindiqué d’en utiliser dans le cas de jeunes animaux
(moins de trois mois), de femelles en période de gestation ou pendant
les périodes d’allaitement.
Les huiles essentielles sont hautement actives et il ne faut pas les
appliquer pures sur le pelage, les muqueuses ou les oreilles.
Et ce n’est pas parce qu’elles sont dites naturelles qu’elles ne sont
pas sans danger, vous l’aurez bien compris. Mal les utiliser ou les
laisser à portée des animaux peut leur être fatal. Aussi, la prévention
est de loin le meilleur moyen d’y faire face.
Les conséquences en cas d’ingestion d’huiles essentielles ou de surdosage peuvent être :
- des troubles digestifs (vomissements, hyper salivation qui pourrait d’ailleurs ressembler d’ailleurs à un symptôme de rage)
- des troubles de l’équilibre
- des tremblements
- un abattement inhabituel
- des irritations cutanées
- des ulcères
- des troubles respiratoires
- …
En cas d’empoisonnement, consultez immédiatement un vétérinaire
qui pourra prendre en charge votre animal.
N’oubliez pas que de nombreux produits ménagers en contiennent
aujourd’hui, et de la même façon que vous rangez les petites fioles
d’huiles essentielles, rangez vos produits de fée du logis pour que ces quadripèdes n’y mettent ni truffe ni langue !
2 commentaires -
Par Marie-Andrée30 le 8 Juin 2017 à 07:04
Choisir son âge .
Au moment de l’adoption ou l’acquisition d’un chien, vous pouvez opter pour un animal adulte plutôt que vers un chiot. Les avantages associés à cette option sont multiples.
Choisir d’acquérir ou d’adopter un chien adulte(âgé d’au moins 12 mois) constitue une décision importante. L’arrivée d’un chien qui a un vécu et dont la personnalité est déjà construite demande une période d’adaptation au départ, mais les avantages que comporte un tel choix sont nombreux. Voyons en les aspects positifs, les inconvénients à prévoir et les précautions à prendre pour éviter les mauvaises expériences.
Apprendre à se connaître
L’éducation reçue par le chien de la part de son ancien maître détermine son comportement actuel et sa faculté d’adaptation à la vie que vous vous apprêtez à lui proposer. Les rapports entre le chien et vous – et éventuellement les autres animaux que vous avez déjà – en dépendent donc dans une grande mesure.
Peut-être vous faudra-t-il le rééduquer, avec l'aide d'un éducateur canin comportementaliste cela ce fera en douceur.
Un temps d’adaptation doit nécessairement être observé au départ. Il va permettre au chien et à sa nouvelle famille, d’apprendre à se connaître mutuellement. Chacun s’habituera progressivement au tempérament et aux habitudes de l’autre.
Certains avantages s'offre à vous.
Opter pour un chien adulte comporte nombre d’avantages :
Vous vous épargnerez notamment les consignes de base que sa mère biologique et adoptive lui ont appris et la propreté.Vous n’aurez pas de surprise concernant sa race, ni sa taille définitive vous connaissez déjà, après avoir obtenu tous les renseignements, le caractère du chien.L’adulte est généralement plus calme que le chiot.L’adoption d’un chien auprès d’un refuge agréé offre la garantie que l’animal a bénéficié des soins et procédures nécessaires (examens médicaux, vaccins, vermifuge, etc.Vous économisez les frais vétérinaire du chiot (premiers vaccins, puce d’identification, carnet, traitements spécifiques, etc.)
Mais aussi un peut d 'inconvénient à connaître
Si l’éducation donnée par l’ancien maître est approximative, il est plus difficile de corriger les travers comportementaux du chien à l’âge adulte, et c'est là que l'éducateur comportementaliste interviendra Si vous avez déjà d’autres chiens à la maison, il est possible que des tensions se créent entre ces derniers et le nouveau venu. Le chien adulte vivra moins longtemps à vos côtés Adopter dans un refuge, c’est sauver une vie
Adopter un chien adulte auprès d’un refuge correspond également à un acte de bienfaisance. Hélas, de nombreux chiens de refuges qui n’ont pas trouvé preneur risquent d’être euthanasiés.
Ce sont donc de précieuses vies qui sont sauvées lorsque des animaux sont adoptés.
Par ailleurs, tous les chiens que l’on trouve dans les centres d’adoption n’y sont pas forcément pour des motifs comportementaux ; des animaux adorables et bien éduqués peuvent avoir été confiés à ces structures parce que leurs anciens propriétaires n’ont plus les moyens de s’en occuper, ont dû déménager ou sont décédés.
Quelques recommandations pour éviter les mauvaises surprises
Le chien a besoin de temps pour s’adapter à votre environnement. Il se peut qu’il ait du mal à s’y familiariser au départ avant d’adopter le chien adulte, renseignez-vous sur son passé et son comportement auprès de son ancien propriétaire ou du refuge un chien ayant subi des mauvais traitements par le passé demande davantage de temps pour vous accorder sa confiance. Soyez patients et aimants, il vous le rendra .
2 commentaires -
Par Marie-Andrée30 le 1 Juin 2017 à 15:03
Les vomissements sont la manifestation d’un problème gastro-intestinal.
Ils peuvent survenir à la suite d’un stress important, d’un parasite ou, le plus souvent, d’une mauvaise alimentation. Pour aider votre chien, il convient de le surveiller et de mettre en place un ensemble de soins simples et attentifs.
Vomissements et régurgitations
Avant de parler de vomissements, il faut faire la différence entre l’action de vomir et celle de régurgiter.
La régurgitation intervient immédiatement après un repas. Il s’agit d’un mouvement de gorge sans spasmes gastriques. Souvent, l’animal a mangé trop vite ou a fait une fausse route qui l’a conduit à tousser. Le chien régurgite alors de petites quantités de nourriture et l’épisode est clos.
Le vomissement peut intervenir jusqu’à plusieurs heures après la consommation du dernier repas. La digestion a déjà commencé. L’action de vomir est marquée par la contraction de l’abdomen qui expulse alors le contenu de l’estomac, souvent avec des douleurs.
Plusieurs causes de vomissement du chien sont possibles. Dans la plupart des cas, votre chien s’est intoxiqué en allant grignoter des aliments et substances qui ne lui étaient pas destinés. Il se peut qu’il ait également trop mangé, souvent lors d’un repas où les convives pensaient à tort le gâter.
Une réaction adaptée
Pour commencer, vous devez stopper l’alimentation de votre chien adulte. Il est important que celui- ci puisse jeûner pendant 24 heures. Passé ce délai, le jeûne peut s’avérer néfaste. Il faut vous assurer, en revanche, qu’il ait de l’eau en abondance pour éviter qu’il ne se déshydrate.
Les vomissements doivent s’espacer au cours de la journée pour s’arrêter progressivement. Si les symptômes persistent, consultez votre Vétérinaire. De même, si votre chien connaît régulièrement des épisodes de vomissement, vous devez vous inquiéter pour en trouver les causes.
Si votre compagnon est abattu, qu’il semble fatigué ou qu’il présente de la fiévre vous devez consulter votre vétérinaire immédiatement afin qu’il analyse les causes de cette maladie.
Être attentif au quotidien de son chien.
Vous ne pouvez pas maîtriser les maladies de votre animal, mais vous pouvez lui en éviter certaines. Les vomissements peuvent être évités en donnant régulièrement du vermifuge afin de prévenir l’apparition parasites intestinaux Contrôlez ce que mange votre chien et apprenez-lui à ne pas avaler n’importe quoi.
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