• Bandages, massages cardiaques, bouche-à-truffe (si, si)… Ce week-end, quelques dizaines de personnes, de tout âge et de tout milieu – dont toutefois une majorité de femmes –, se sont formées aux premiers secours pour animaux. Un cours organisé à Avignon et moi même j'en faisait partie.

    Vraiment utile? Le Dr Alessandro Capozzi, vétérinaire à Carouge , en est convaincu: «De nombreux chiens ou chats pourraient être sauvés si leurs propriétaires savaient que faire lorsqu’ils sont confrontés à une situation d’urgence… Or, malheureusement, le temps qu’ils arrivent chez le vétérinaire, c’est souvent trop tard. Il faudrait qu’ils puissent être, au contraire, le premier maillon de la chaîne.»

     

    «Je veux savoir que faire»

    Pour enseigner ces gestes qui sauvent version quatre pattes, il a fait appel à de vrais pros, dont Kimberley Johnson, brevetée en la matière aux Etats-Unis, là où les secouristes animaliers existent depuis longtemps. «L’objectif n’est en aucun cas de remplacer le vétérinaire, assure-t-elle, mais d’apprendre à former une équipe solide avec lui.» Et le concept a fait tilt puisque le Dr Capozzi a dû refuser plus d’une trentaine de participants, faute de place. «On va proposer de nouvelles dates début avril et fin septembre», assure-t-il.

    Parmi les premiers apprentis secouristes, Hugo, jeune propriétaire d’un petit bouledogue femelle de 3 mois: «C’est une race qui a facilement des problèmes, notamment au niveau respiratoire. Je veux savoir que faire au cas où.» Idem pour Andrew: «J’ai constamment des mésaventures avec mon chien; récemment, il a failli se noyer en glissant dans l’Arve. Une autre fois, il est tombé dans le trou d’une canalisation. Tout propriétaire d’animal devrait suivre de tels cours. Comme pour les humains.»

    D’autant que, comme le souligne Valérie, la seconde formatrice, dans certaines situations si on ne fait rien, c’est la fin: «Imaginez que votre chien fasse un malaise ou ait un accident en balade. Vous seul pourrez intervenir… L’ambulance ne va jamais arriver pour lui!»

    Il est important, en revanche, de ne pas voler au secours d’un animal qui n’est pas le sien: «La formation de secouriste pour animaux n’est pas reconnue en Suisse ou en France, où l’animal a toujours le statut de chose. Par conséquent, si cela se passe mal, le propriétaire pourra porter plainte contre vous…»

    Pas question, non plus, de se mettre en danger pour soigner son protégé. «L’animal le plus gentil peut se transformer en véritable fauve en cas de douleur», assure Kimberley Johnson, en faisant appel à son équipière canine, «Fun», un berger américain de 5 ans, pour expliquer comment se préserver d’un coup de croc en le muselant avec une lanière.

    Exercices sur peluches

    Pour les exercices pratiques, «Jerry» et «Compressor», ainsi qu’un chat blanc sans nom – les mannequins peluches – prennent le relais. «Si vous leur cassez une côte, pas de problème, ils ne sont pas rancuniers», assure Valérie en souriant. Situations d’urgence les plus courantes (coup de chaleur, étouffement dû à un objet coincé, hémorragie), analyses de l’état de l’animal (en observant notamment les muqueuses), gestes à effectuer… ou pas, pour lui venir en aide, mais aussi «bobologie» (oreille déchirée): les apprentis secouristes n’ont pas chômé. «C’était intense mais passionnant. Maintenant, il va falloir assimiler tout ça et s’entraîner chez soi, notamment, pour faire des bandages, confie Solange… On se sent un peu plus armé. Reste encore à savoir gérer son stress au cas où…» Tout comme moi lancez vous,vous serez quoi faire au cas ou....


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  • L'alimentation.

    Les protéines sont des

    chaînes d'acides aminés

    aussi nombreuses que

    variées. Il faut savoir

    que le corps du chien

    s'appuie sur 22 acides

    aminés différents, dont

    une partie est produite

    par le foie, et l'autre

    trouvée dans l'alimentation

    du chien.Tout cela permet

    la constitution de

    nombreuses protéines

    du chien essentielles

    à son développement

    corporel. Je  vous en dit davantage dans cet article !
    Protéines pour chien : caractéristiques
    Au cours de sa vie, un

    chien a des besoins en protéines qui évoluent.

    Une bonne alimentation

    du chien lui permet de

    recevoir toutes les

    protéines dont il a

    besoin. Cela lui assure notamment un bon

    développement musculaire

    et une forme olympique.
    En cas de carences, il

    existe des protéines

    pour chien sous forme de compléments alimentaires.

    Ces produits vétérinaires peuvent être donnés en complément de l'alimentation

    si le chien en a besoin.
    Malgré tout, il est

    important de faire très attention à l'équilibre alimentaire du chien, pour veiller à ce qu'il n'ait ni carences ni excès.

    Le rôle des protéines

    chez le chien.
    Tout comme chez l'homme,

    les protéines ont un rôle essentiel dans l'organisme

    du chien. Elles participent

    en effet :
    • à la formation du corps :

    elles garantissent la

    puissance des muscles, la solidité des os, etc.

    Elles ont donc un rôle essentiel dans la croissance

    du chiot.
    • au fonctionnement du

    corps : elles appuient le système immunitaire et

    assurent les fonctions essentielles de l'organisme

    du chien.
    Opter pour des croquettes ou une alimentation riche en protéines est donc essentiel pour assurer la bonne santé

    du chien. Pour autant, mieux vaut bien contrôler les

    apports en protéines,

    car des excès peuvent être aussi dangereux que des carences.
    Bon à savoir : les protéines (hors lipides) forment

    jusqu'à 20 % de l'organisme

    de l'animal. C'en est donc

    le constituant le plus important, après l'eau.

    Pour comprendre les applications pratiques

    sur le plan alimentaire, il faut se pencher

    sur la physiologie digestive et s’intéresser

    aux notions de base. Deux types de

    mécanismes sont importants pour la

    digestion. Il s’agit du transit 

    (grâce auquel les aliments peuvent

    avancer dans le tube digestif) et

    des sécrétions digestives (qui vont

    permettre la digestion des aliments).

    Le tube digestif est composé de la

    cavité buccale, du pharynx, de

    l’œsophage, de l’estomac, de

    l’intestin grêle constitué du

    duodénum, du jéjunum, de l’iléon,

    du gros intestin constitué du cæcum,

    du rectum, du côlon et de l’anus.

    La mastication.

    Le chien prend la nourriture grâce à ses

    dents, puis la mâche plus ou moins

    longtemps. Cette phase de la prise

    d’aliments est très importante pour

    la bonne digestion. Les aliments sont

    broyés grossièrement et imprégnés de

    salive ; cela facilite leur assimilation.

    La nature de l’aliment à ingérer va

    influencer la vitesse de préhension et de mastication. Le chien ensuite déglutit.

    Il peut cependant arriver des incidents :
    - l’animal « aspire » l’aliment
    - il ne mâche pas et déglutit directement

    après la préhension

    Les deux cas entraînent une mauvaise

    digestion, et un risque de régurgitation.

    Les causes de ces incidents peuvent être,

    pour la mauvaise préhension :
    - une douleur de la bouche ou de la

    mâchoire
    - un chiot trop « pressé »

    L’absence de mastication est plutôt due à :
    - une douleur dentaire
    - l’état de délabrement de mâchoire

    (vieux chien sans dents)
    - des poussées dentaires (chiot et jeune

    chien)

    En conséquence, selon le cas il faudra :
    - « apprendre » au chiot à mâcher en

    divisant la ration pour le calmer
    - vérifier l’état de la bouche et des dents
    - donner une alimentation molle lors de problèmes de dentition

    La déglutition.

    C’est un mécanisme qui va permettre le

    passage des aliments vers l’œsophage et

    non pas vers la trachée, ce qui entraînerait

    une fausse déglutition.

    Il se déroule ainsi :
    1. La mastication cesse.
    2. La langue s’applique contre le palais et chasse l’aliment vers l’arrière.
    3. Le voile du palais se relève pour fermer

    la communication avec les cavités nasales.
    4. Une contraction du pharynx amène les

    aliments vers l’entrée de l’œsophage.
    5. L’épiglotte se renverse et obstrue le

    larynx (déjà en partie obstrué par la base

    de la langue).
    6. La respiration est inhibée.

    Dès que les aliments sont dans l’œsophage,

    une onde de contractions va les faire progresser. La coordination se fait par

    le centre de la déglutition, qui se

    trouve dans le bulbe à hauteur du

    système nerveux central. Lors d’une

    anesthésie, il peut y avoir des «

    fausses routes », c’est-à-dire une

    orientation de salive ou de vomissements

    vers la trachée.

    C’est pourquoi, il est important de mettre

    les animaux à jeun avant de les anesthésier. Quand tout se déroule normalement,

    l’animal déglutit chaque bouchée mâchée en levant légèrement la tête et en tendant

    le cou.

    Les incidents possibles sont :
    - une fausse déglutition ; les aliments

    passent dans la trachée
    - une régurgitation, si la déglutition est difficile

    On peut envisager pour causes 
    - des problèmes anatomiques de naissance (mégaoesophage, malformations)
    - une ingestion trop rapide
    - une « angine »
    - une tumeur qui compresse l’œsophage

    Comment réagir ? Selon le cas, il faudra :
    - surélever la gamelle afin que le transit

    dans l’œsophage soit plus facile
    - faire un transit baryté pour vérifier

    ensuite avec une radiographie l’endroit

    où l’aliment « coince »

    Le transit gastrique

    Arrivés dans l’estomac, les aliments vont

    subir un certain nombre de mouvements de brassage visant à les mélanger aux

    sécrétions gastriques, et à les faire

    avancer vers le pylore qui les fera

    pénétrer dans l’intestin. Le mauvais fonctionnement du pylore peut entraîner des vomissements.

    Chez le chien, l’estomac est très

    développé et le temps de séjour des

    aliments y est très élevé. Chez un homme

    de 70 kg la contenance de l’estomac est

    de 1 l à 1,4 l tandis que chez un chien

    de 20 kg elle est de 3 l.

    Le transit intestinal

    Il est assuré par les muscles de la paroi

    de l’intestin. La défécation marque la fin

    du transit. Elle se fait à la fois par une activité de l’intestin lui-même et par une activité de presse abdominale (contraction

    de la musculature abdominale). Le mauvais transit gastrique peut entraîner des vomissements et le mauvais transit

    intestinal entraîne des diarrhées ou constipation.

    La salive

    La salive est sécrétée dans la cavité

    buccale. Elle est essentiellement aqueuse, incolore et filante. 

    La salive va imbiber les aliments,

    contribuer à la formation du « bol

    alimentaire » grâce au mucus quelle

    contient et favoriser la déglutition.

    La salive est donc primordiale pour une bonne digestion. La sécrétion de salive est permanente, mais diminue de façon

    importante pendant le sommeil.

    Le volume de salive sécrétée par

    jour chez le chien est de 0,4 l.

    Les sécrétions gastriques

    Certaines cellules fabriquent du mucus

    qui va tapisser la muqueuse gastrique

    de manière à la protéger, d’autres

    sécrètent de l’acide chlorhydrique,

    et d’autres encore sécrètent la pepsine ;

    cette enzyme attaque les protéines

    alimentaires et commence donc la

    digestion. Puis, des cellules sécrètent

    une hormone, la gastrine, qui règle un

    certain nombre de mécanismes digestifs,

    en particulier ceux concernant l’estomac.

    Le suc gastrique est dangereux en trop grande quantité ; il existe donc un système de régulation. Les saveurs et odeurs arrivent

    très précocement : au moment du repas du

    chien. Cela entraîne la sécrétion d’acide chlorhydrique. Cette stimulation provoque

    une sécrétion de gastrine, qui active

    également la sécrétion d’acide

    chlorhydrique.

    Puis, une distension de l’estomac excite à

    son tour la sécrétion de gastrine. Ensuite

    une stimulation chimique par certains

    aliments va entraîner la sécrétion

    gastrique. Par ailleurs, de l’histamine

    est libérée localement et stimule elle

    aussi la sécrétion d’acide chlorhydrique.

    Le rôle de la digestion gastrique est de commencer la digestion protéique grâce à la pepsine et à l’acidité. Son importance est primordiale chez les chiens dont la ration

    est très riche en protéines. Une mauvaise sécrétion de toutes ces enzymes empêche une bonne digestion des protéines.

    Le suc pancréatique.

    Il provient du pancréas. C’est un suc

    digestif très important car il contient

    un grand nombre d’enzymes capables de

    digérer tous les constituants de la

    ration du chien :

    - des enzymes lipolytiques, comme les

    lipases attaquant les graisses
    - des enzymes protéolytiques : la trypsine,

    la chymotrypsine poursuivant la digestion

    des protéines qui a été commencée dans

    l’estomac par la pepsine.

    La bile.

    La bile est sécrétée par le foie.

    C’est un liquide très amer, de couleur

    jaune verdâtre, filant, qui arrive dans

    le duodénum par le canal cholédoque soit directement, soit après avoir été stocké

    dans la vésicule biliaire.

    La bile contient des sels biliaires

    constitués à partir du cholestérol,

    ainsi que des pigments biliaires,

    en particulier la bilirubine, qui

    provient de la dégradation de l’hémoglobine.

    Le rôle principal de la bile est de favoriser la digestion des lipides.

    En effet, pour que les lipides puissent

    être digérés par la lipase du suc

    pancréatique, il faut que ces molécules de lipides aient été préalablement fractionnées par les sels biliaires. Lorsque la sécrétion de bile est insuffisante, les graisses ne sont pas ou sont mal digérées ; les autres constituants du chyle sont enrobés par ces graisses et mal digérés à leur tour, ce qui favorise le développement de micro-organismes ; les selles seront grasses et nauséabondes.

    Si les sécrétions digestives souffrent d’un mauvais fonctionnement, la digestion des constituants de base n’est pas assurée.

    On y remédiera par un traitement spécifique et/ou une adaptation du régime alimentaire : sans amidon, ou sans protides, ou sans

    lipides.

    L'absorption des différents nutriments

    Elle se fait principalement au cours du

    passage dans l’intestin grêle, dont la

    muqueuse comporte un grand nombre de replis formant chacun des villosités délimitées

    par des cellules. Les divers constituants

    de la ration alimentaire sont digérés et absorbés .
    - dans la bouche, attaque par l’amylase salivaire
    - dans le duodénum : attaque par l’amylase pancréatique

    • Pour les protéines :
    - dans l’estomac : attaque par la pepsine favorisée par le milieu acide
    - dans le duodénum : attaque par les enzymes

    du suc pancréatique

    • Pour les lipides :
    - dans le duodénum : attaque (lorsque des

    sels biliaires sont présents) par la lipase pancréatique et pénétration dans les

    cellules intestinales.

    L'alimentation

     


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  •  Huiles essentielles : les intoxications du chien et du chat

    Chiens, chats, huiles essentielles, mode d’emploi

    Les huiles essentielles, ces extraits de plantes obtenus après distillation sont connus pour leurs vertus diverses et variées. Leur utilisation est

    particulièrement intéressante pour leurs nombreuses propriétés.

     

    Si elles font partie de votre quotidien, sachez néanmoins qu’elles

    s’utilisent différemment chez l’animal de par sa physiologie,

    sa peau, son pelage, son odorat développé et son naturel à se lécher.

    Alors, pour le chien ou le chat, oui on utilise des huiles essentielles

    mais sous conditions. Certaines peuvent être dangereuses pour vos

    compagnons, voire mortelles, alors est-il indispensable de s’informer

    et respecter les précautions d’emploi.

    Pourquoi utiliser des huiles essentielles chez l’animal de compagnie ?

    Prévenir des affections, des maladies, des parasites pour protéger

    un animal est le devoir de tous les maîtres et les huiles essentielles

    vont y aider et contribuer à son bien-être et à sa bonne santé.

    C’est une façon efficace, douce et naturelle d’y parvenir, d’autant

    qu’une même huile peut avoir plusieurs actions.

    Dans quels cas peut-on utiliser des huiles essentielles ?

    Les huiles essentielles peuvent être utilisées en soin ou en prévention

    (en complément, bien entendu, d’une bonne hygiène de vie et de soins

    adaptés au besoin), notamment pour :

    •  Soigner des plaies, aseptiser (Ahibéro, Cèdre de l’Atlas, Lavande, Lavandin super)
    •  Calmer ou prévenir de diarrhées, de spasmes, d’allergies
    • (Basilic tropical, Lavande, Lavandin super)
    •  Soigner la peau en cas de dermatose (Camomille romaine,
    • Laurier noble)
    •  Réduire le stress, l’anxiété (Camomille romaine, Lavande)
    •  Tenir à distance les puces, les tiques, les moustiques
    • (Cèdre de l’Atlas, Citronnelle de Ceylan, Eucalyptus
    • citronné, Géranium rosat, Lavande)
    •  Calmer des démangeaisons (Eucalyptus citronné)
    •  Soulager les troubles ORL comme les sinusites, les toux,
    • l’asthme (Eucalyptus mentholé, Hysope couchée)
    •  Lutter contre les bactéries, microbes, virus, champignons
    • (Girofle, Laurier noble, Menthe poivrée, Niaouli, Origan compact, Ravintsara, Tea tree)
    •  Calmer les douleurs, avoir une action anti-inflammatoire
    • (Eucalyptus citronné, Gaulthérie couchée, Genévrier,
    • Géranium rosat, Katafray, Menthe poivrée, Tanaisie annuelle,
    • Tea tree)
    •  Lutter contre les allergies (Lavande aspic, Tanaisie annuelle)
    •  Favoriser la cicatrisation (Lavande, Lavandin super)
    •  Prévenir du mal des transports (Menthe poivrée)

    Comment utiliser les huiles essentielles ?

    Elles peuvent être administrées par inhalation, ingestion ou en

    application locales sur le corps.

    Chaque huile a ses propriétés, chaque mélange d’huiles doit se

    faire en respectant des proportions déterminées, et selon qu’il

    s’agisse d’un chien ou d’un chat les précautions devront être

    respectées pour ne pas se transformer en poison pour l’animal.

    S’agissant d’un chien, le choix de l’huile se fera notamment en

    fonction de l’effet recherché, les quantités en fonction de sa taille

    et le mode d’administration en fonction des recommandations

    faites pour la ou les huiles.

    Pour le chat, c’est différent. Tout d’abord, le chat a une faculté

    olfactive incroyable. Les quantités doivent donc être

    particulièrement limitées. Par ailleurs, comme il lui manque

    une enzyme hépatique, la transformation et l’élimination des

    substances se fait lentement. Ainsi, les doses doivent être

    restreintes dans leur quantité et dans la durée. Enfin, ce petit

    félin se lave en se léchant fréquemment ; il est donc inévitable

    qu’il ingère des poils qui contiendraient des substances étalées

    sur son pelage.

    Comment bien utiliser des huiles essentielles ?

    Il est préférable de demander l’avis d’un spécialiste au préalable

    (vétérinaire ou aromathérapeute). Celui-ci vous confirmera les

    bienfaits et les posologies et modes d’administration à respecter.

    Il vous conseillera certainement de réaliser des tests sur des petites

    zones 48 heures avant une application généralisée. Les animaux sont

    comme nous, êtres humains, potentiellement allergiques, ne

    l’oublions pas.

    Il est contrindiqué d’en utiliser dans le cas de jeunes animaux

    (moins de trois mois), de femelles en période de gestation ou pendant

    les périodes d’allaitement.

    Les huiles essentielles sont hautement actives et il ne faut pas les

    appliquer pures sur le pelage, les muqueuses ou les oreilles.

    Et ce n’est pas parce qu’elles sont dites naturelles qu’elles ne sont

    pas sans danger, vous l’aurez bien compris. Mal les utiliser ou les

    laisser à portée des animaux peut leur être fatal. Aussi, la prévention

    est de loin le meilleur moyen d’y faire face.

    Les conséquences en cas d’ingestion d’huiles essentielles ou de surdosage peuvent être :

    •  des troubles digestifs (vomissements, hyper salivation qui pourrait d’ailleurs ressembler d’ailleurs à un symptôme de rage)
    •  des troubles de l’équilibre
    •  des tremblements
    •  un abattement inhabituel
    •  des irritations cutanées
    •  des ulcères
    •  des troubles respiratoires
    •  

    En cas d’empoisonnement, consultez immédiatement un vétérinaire

    qui pourra prendre en charge votre animal.

    N’oubliez pas que de nombreux produits ménagers en contiennent

    aujourd’hui, et de la même façon que vous rangez les petites fioles

    d’huiles essentielles, rangez vos produits de fée du logis pour que ces quadripèdes n’y mettent ni truffe ni langue !

     







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  • Choisir son  âge .

    Au moment de l’adoption ou l’acquisition d’un chien,  vous pouvez opter pour un animal adulte plutôt que vers un chiot. Les avantages associés à cette option sont multiples.

    Choisir d’acquérir ou d’adopter un chien adulte(âgé d’au moins 12 mois) constitue une décision importante. L’arrivée d’un chien qui a un vécu et dont la personnalité est déjà construite demande une période d’adaptation au départ, mais les avantages que comporte un tel choix sont nombreux. Voyons en les aspects positifs, les inconvénients à prévoir et les précautions à prendre pour éviter les mauvaises expériences.

    Apprendre à se connaître

    L’éducation reçue par le chien de la part de son ancien maître détermine son comportement actuel et sa faculté d’adaptation à la vie que vous vous apprêtez à lui proposer. Les rapports entre le chien et vous – et éventuellement les autres animaux que vous avez déjà – en dépendent donc dans une grande mesure.

    Peut-être vous faudra-t-il le rééduquer, avec l'aide d'un éducateur canin comportementaliste cela ce fera en douceur.

    Un temps d’adaptation doit nécessairement être observé au départ. Il va permettre au chien et à sa nouvelle famille, d’apprendre à se connaître mutuellement. Chacun s’habituera progressivement au tempérament et aux habitudes de l’autre.

    Certains avantages s'offre à vous.

    Opter pour un chien adulte comporte nombre d’avantages :

    Vous vous épargnerez notamment les consignes de base  que sa mère biologique et adoptive lui ont appris et la propreté.Vous n’aurez pas de surprise concernant sa race, ni sa taille définitive vous connaissez déjà, après avoir obtenu tous les renseignements, le caractère du chien.L’adulte est généralement plus calme que le chiot.L’adoption d’un chien auprès d’un refuge agréé offre la garantie que l’animal a bénéficié des soins et procédures nécessaires (examens médicaux, vaccins, vermifuge, etc.Vous économisez les frais vétérinaire du chiot (premiers vaccins, puce d’identification, carnet, traitements spécifiques, etc.)

     Mais aussi un peut d 'inconvénient à connaître

    Si l’éducation donnée par l’ancien maître est approximative, il est plus difficile de corriger les travers comportementaux du chien à l’âge adulte, et c'est là que l'éducateur comportementaliste interviendra Si vous avez déjà d’autres chiens à la maison, il est possible que des tensions se créent entre ces derniers et le nouveau venu. Le chien adulte vivra moins longtemps à vos côtés  Adopter dans un refuge, c’est sauver une vie

    Adopter un chien adulte auprès d’un refuge correspond également à un acte de bienfaisance. Hélas, de nombreux chiens de refuges qui n’ont pas trouvé preneur risquent d’être euthanasiés.

    Ce sont donc de précieuses vies qui sont sauvées lorsque des animaux sont adoptés.

    Par ailleurs, tous les chiens que l’on trouve dans les centres d’adoption n’y sont pas forcément pour des motifs comportementaux ; des animaux adorables et bien éduqués peuvent avoir été confiés à ces structures parce que leurs anciens propriétaires n’ont plus les moyens de s’en occuper, ont dû déménager ou sont décédés.  

    Quelques recommandations pour éviter les mauvaises surprises

    Le chien a besoin de temps pour s’adapter à votre environnement. Il se peut qu’il ait du mal à s’y familiariser au départ avant d’adopter le chien adulte, renseignez-vous sur son passé et son comportement auprès de son ancien propriétaire ou du refuge un chien ayant subi des mauvais traitements par le passé demande davantage de temps pour vous accorder sa confiance. Soyez patients et aimants, il vous le rendra .

     


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  • Les vomissements sont la manifestation d’un problème gastro-intestinal.

    Ils peuvent survenir à la suite d’un stress important, d’un parasite ou, le plus souvent, d’une mauvaise alimentation. Pour aider votre chien, il convient de le surveiller et de mettre en place un ensemble de soins simples et attentifs.

     

    Vomissements et régurgitations

    Avant de parler de vomissements, il faut faire la différence entre l’action de vomir et celle de régurgiter.

    La régurgitation intervient immédiatement après un repas. Il s’agit d’un mouvement de gorge sans spasmes gastriques. Souvent, l’animal a mangé trop vite ou a fait une fausse route qui l’a conduit à tousser. Le chien régurgite alors de petites quantités de nourriture et l’épisode est clos.

    Le vomissement peut intervenir jusqu’à plusieurs heures après la consommation du dernier repas. La digestion a déjà commencé. L’action de vomir est marquée par la contraction de l’abdomen qui expulse alors le contenu de l’estomac, souvent avec des douleurs.

    Plusieurs causes de vomissement du chien sont possibles. Dans la plupart des cas, votre chien s’est intoxiqué en allant grignoter des aliments et substances qui ne lui étaient pas destinés. Il se peut qu’il ait également trop mangé, souvent lors d’un repas où les convives pensaient à tort le gâter.

     

    Une réaction adaptée

    Pour commencer, vous devez stopper l’alimentation de votre chien adulte. Il est important que celui- ci puisse jeûner pendant 24 heures. Passé ce délai, le jeûne peut s’avérer néfaste. Il faut vous assurer, en revanche, qu’il ait de l’eau en abondance pour éviter qu’il ne se déshydrate.

    Les vomissements doivent s’espacer au cours de la journée pour s’arrêter progressivement. Si les symptômes persistent, consultez votre  Vétérinaire. De même, si votre chien connaît régulièrement des épisodes de vomissement, vous devez vous inquiéter pour en trouver les causes.

    Si votre compagnon est abattu, qu’il semble fatigué ou qu’il présente de la fiévre vous devez consulter votre vétérinaire immédiatement afin qu’il analyse les causes de cette maladie.

    Être attentif au quotidien de son chien.

    Vous ne pouvez pas maîtriser les maladies de votre animal, mais vous pouvez lui en éviter certaines. Les vomissements peuvent être évités en donnant régulièrement du vermifuge afin de prévenir l’apparition parasites intestinaux Contrôlez ce que mange votre chien et apprenez-lui à ne pas avaler n’importe quoi.


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