MANUKA, le miel pour soigner nos chiens, nos chats, nos chevaux.
Le Manuka : qu’est ce que ce miel ? Pourquoi est-il aussi efficace ?
Voici plus de 2000 ans que le miel est utilisé comme un antimicrobien, un anti-inflammatoire, un anti bactérien, un antioxydant et comme un pansement topique.
Tous les miels n’ont pas la même efficacité selon leur degré de filtration et selon la plante dont ils proviennent. Ils sont de plus en plus utilisés par les hôpitaux pour leurs divers effets, il ne s’agit nullement du miel que vous pouvez trouver dans les supermarchés ou autres…
D’où vient le miel MANUKA ?
Le miel de Manuka est un produit de l’arbre de nectar (manuka) ayant des propriétés chimiques remarquables, il est issu d’un arbrisseau de Nouvelle-Zélande (le Leptospernum Scoparium) dont le miel a été filtré des débris et de la cire des abeilles.
Il a un pouvoir autre que celui des autres miels : il a un pH qui créé un potentiel osmotique élevée qui peut conférer un excellent miel de débridement et des propriétés anti-inflammatoires.
Il existe une norme appelée UMF (Unique Manuka Factor) qui lui confère un effet antimicrobien.
Un minimum de 10 UMF est nécessaire, mais le miel de Manuka ici présenté à un UMF de 15.
De plus, il est stérile pour une antisepsie maximale.
Le miel de Manuka : dans quels cas utiliser ce miel pour nos chiens, chats, chevaux ?
Les cataplasmes ou bandages à base de miel de Manuka sont utilisés en cas de :
– coupures
– éraflures
– ulcères
– brûlures
– plaies d’exéma
– plaies d’escarres, etc.
NOUS AVONS DECIDE DE NE PAS VOUS MONTRER DE PHOTOS CHOQUANTES (sur demande nous pouvons vous envoyer des photos avant/après)
Le miel de Manuka a beaucoup d’avantages
Il est facile à utiliser, il assainit, protège, soigne les plaies, il réduit l’inconfort, les grattages et la douleur.
Le miel sous différentes formes pour tout usage :
Le tube de crème 15g de Manuka :
- 100% Leptospernum scoparium miel de la Nouvelle-Zélande
- Peut être appliqué directement sur la plaie et créer un environnement propice à la cicatrisation nécessaire
indications:
- Plaies et abrasions traumatiques
- Blessures incrustées nécessitant un débridement autolytique (auto-destructeur)
- Brûlures sur de grandes surfaces, superficielles ou partielles
- Blessures de cavités telles que les abcès
- Escarres sévères
- Plaies postopératoires
Les compresses de miel Manuka
Elles ont différentes tailles de façon à les adapter à la taille de l’animal et à la partie blessée à couvrir.
Elles sont faciles à utiliser et donnent de très bons résultats.
A retenir :
La peau est une barrière naturelle de l’organisme contre les agressions extérieures. Elle garde hors de l’organisme les germes, bactéries, microbes, etc.
Quand il y a une plaie, il est important de poser un pansement de protection.
Une plaie, même de petite taille peut s’infecter.
Une plaie couverte de miel va créer un environnement sain pour une meilleure cicatrisation.
Comment concilier sa vie professionnelle et la présence d'un chien à la maison ?
L'un et l'autre demandent beaucoup de temps et votre chien risque fort de transformer
votre intérieur en champ de bataille s’il reste trop longtemps seul, sans compter
qu’il faut trouver une solution pour le sortir au moins une fois dans la journée.
Voici quelques conseils pour gérer le fait d’avoir un chien quand on travaille.
Apprendre à son chien à rester seul
Zoom sur le chien qui reste trop longtemps seul
Le chien n'est pas fait pour vivre seul. Il a besoin d'interagir avec ses maîtres
ou avec d'autres chiens tous les jours et d'exercices quotidiens. Un chien laissé
seul quotidiennement pendant plusieurs heures peut développer des troubles du comportement dus à :
l'anxiété de la séparation ;
l'ennui ;
la démonstration de la dominance.
La plupart du temps cela se traduit par des destructions et des mictions laissées dans la maison.
Pour remédier à cela, il faut pouvoir morceler et occuper ses journées afin qu'elles ne se
transforment pas en longues attentes.
À savoir : certaines races sont plus calmes ou ont moins besoin de se dépenser. C'est le cas,
par exemple, des retrievers ou des bouledogues français ou anglais. D'autres chiens ont besoin
de beaucoup d'exercice, comme les chiens de chasse ou de berger qui ont développé une grande endurance.
Chien destructeur
Anxiété de séparation chez le chien
Chien qui boude
1 Sortez votre chien dans la journée
Pour être bien dans sa peau, un chien doit pouvoir faire au minimum trois sorties par jour et
pas uniquement le tour du pâté de maison au bout de la laisse dont il ne reviendra que frustré.
Si vous laissez votre chien seul à votre domicile durant de longues heures, prévoyez
impérativement des promenades d'au moins une demi-heure matin, midi et soir.
Lorsque l'on travaille, s'il est possible de faire les balades du matin et du soir,
la difficulté vient de celle de la mi-journée.
Laisser un chien enfermé seul entre 7 et 10 heures d'affilée n'est pas souhaitable.
Il est donc nécessaire, pour son équilibre et pour votre tranquillité, de pouvoir
couper sa journée par une sortie. Il pourra ainsi faire ses besoins, se dépenser et
supportera mieux les heures de l'après-midi.
Il existe deux possibilités :
la pause déjeuner : l'un des membres du foyer peut repasser au domicile et en profite
pour sortir le chien ;
le promeneur pour chien : cette activité rémunérée et souvent exercée par des étudiants
se développe de plus en plus en ville. Le promeneur récupère le chien chez vous ou sur
votre lieu de travail et lui fait faire une promenade. Cette promenade peut être individuelle
ou en compagnie d'autres chiens. Comptez entre 10 et 15 €, avec possibilité de forfait.
2 Occupez votre chien pendant les heures de solitude
Pendant votre absence, votre chien connaît des heures de repos, surtout s'il a pu se dépenser,
mais aussi des moments d'activité.
Mettez des jouets à sa disposition
Durant ces périodes, il doit pouvoir s'occuper. S'il n'a rien à faire, il y a de forte chance
qu'il se rattrape sur vos affaires.
Laissez à sa disposition des jouets, notamment ceux dans lesquels on peut glisser quelques
friandises ou un os à ronger.
Faut-il laisser votre chien dans le jardin ?
Laisser son chien seul toute la journée dans un jardin n'est pas une solution. Si le chien peut
effectivement se soulager à sa guise, il n'en développera pas moins des comportements de
frustration dus à l'enfermement et à l’isolement. Le fait d'être à l’extérieur ne change rien.
De plus, un chien laissé seul dans un jardin peut très vite le transformer en champ de bataille.
3 Emmenez votre chien sur votre lieu de travail
Pour le chien, comme pour le maître, l'idéal est de ne pas se séparer et donc que le chien puisse
accompagner son maître au travail. Apparemment, 16 % des employés viendraient avec leur chien
au travail.
Il n'existe aucune loi interdisant de prendre son chien avec soi au bureau, cependant certaines
professions l'interdisent pour des raisons d'hygiène ou d'ordre publique. C'est le cas des métiers
de l'alimentation ou des administrations publiques.
En revanche, de plus en plus d'entreprises privées acceptent la présence d'un ou de plusieurs chiens
dans leurs locaux. Il est donc possible de venir travailler avec son chien si on a obtenu l'accord
de la direction et de ses collègues.
Afin de faciliter la présence du chien, celui-ci doit être calme, bien éduqué et propre. Vous devez
donc être parfaitement maître de votre animal et il vous faudra penser à le sortir pour ses besoins.
À savoir : des études américaines ont montré que la présence d'un animal constitue un facteur antistress,
favorise les relations entre collègues et ferait même baisser de l’absentéisme. Ces arguments ne peuvent
que sensibiliser un patron.
Note : vérifiez bien auprès de votre assureur que votre chien est aussi assuré sur votre lieu de travail.
faire dormir son chien avec soi dans son lit!!
C’est loin d’être une aberration pour beaucoup de propriétaires de toutous. Les arguments en faveur d’une telle pratique sont d’ailleurs plutôt convaincants.
Au même titre que le « co-dodo » (dormir avec son bébé dans le même lit), le co-sleeping canin divise les opinions. Certains propriétaires de chiens sont totalement contre cette idée de dormir avec son chien, avançant notamment des arguments ayant trait à l’hygiène et au statut du maître (céder son lit à son chien reviendrait à le laisser contester ce statut). D’autres, en revanche, ne voient aucun problème à ce que leurs chiens puissent dormir à leurs côtés et encouragent même les autres propriétaires à en faire de même.
Il faut dire que, de ce côté aussi, les arguments ne manquent pas. Si vous hésitez à laisser votre compagnon à 4 pattes dormir dans votre lit, ces 7 illustrations réalisées par Tayra Lucero pour le site Little Things vous convaincront peut-être de le faire…
Sa présence physique à vos côtés vous évitera d'avoir froid grâce à la chaleur corporelle
qu'il dégage.
Il vous apportera du réconfort.
La présence de votre chien à vos côtés vous permettra de moins ressentir la solitude, particulièrement pesante la nuit.
Il vous aidera a combattre l'insomnie.
En vous rassurant et en contribuant à vous faire oublier le stress, votre compagnon à 4 pattes vous aidera à mieux dormir.
Il vous aidera a combattre l'anxiété.
Il suffit de caresser son chien pour se sentir tout de suite apaisé. Que dire alors lorsqu'on le prend dans ses bras pour s'endormir paisiblement...
Il vous fera vous sentir plus en sécurité.
Vous pourrez compter sur votre chien pour se réveiller à la moindre alerte, vous avertir du moindre évènement suspect et éventuellement vous défendre si cela s'avérait nécessaire.
Il vous aidera a mieux faire face a la dépréssion
Les personnes souffrant de dépression apprécient généralement la compagnie de leurs chiens, car ces derniers sont toujours là pour les réconforter et ne les jugent jamais. Leur soutien est d'autant plus précieux la nuit, quand ces gens se retrouvent face à eux-mêmes, à leurs craintes et à leurs questionnements.
Et c'est aussi bon pour lui même.
Pour votre chien, vous êtes le centre de son petit monde. Pouvoir rester à vos côtés jour et nuit est un véritable bonheur et il ne manquera pas de vous le rendre au centuple.
Présentation du Loup.
Communication par les sens.
Le loup communique en s'appuyant sur tous ses sens. Ainsi, grâce à son odorat, son ouïe, sa vue, etc.., il va analyser et croiser les informations reçues afin d'adapter au mieux sa réponse. Certains sens propres au loup sont cependant bien plus développés que d'autres avec notamment la sensibilité olfactive, auditive et visuelle :
Sensibilité olfactive :
Le loup est sensible aux odeurs. Grâce à sa truffe, il peut sentir un danger imminent. A noter que le loup a une sensibilité olfactive bien plus développée que celui du meilleur chien de chasse. Pour avoir un ordre d'idée, le chien peut détenir jusqu'à deux cent trente millions de récepteurs sur la surface de la muqueuse olfactive tandis que l'homme en a environ dix millions.
Le loup peut sentir du gibier à deux kilomètres de distance. Très bon pisteur, il peut remonter à une source odorante en faisant la différence entre ce qu'il sent depuis sa narine gauche et sa narine droite.
Sensibilité auditive :
Chez le loup Son ouïe est des plus fines, il peut entendre les hurlements d'un congénère ou
le passage d'une proie par exemple. Même lorsqu'il dort, ses oreilles restent dressées pour
pouvoir constamment intercepter les sons des autres animaux.
Sensibilité visuelle :
Le champ visuel du loup avoisine les deux cent cinquante degrés. Quant à l'homme, son champ visuel est inférieur (cent quatre vingt degrés). Par contre, il a une vision diurne plus nette par rapport au loup : au delà d'une courte distance, la vue du loup est à priori plutôt floue. Sa vision frontale est relativement mauvaise. Par exemple, les loups reconnaissent difficilement les membres de leur propre meute au delà de trente à quarante cinq mètres. Cependant, ils ont une vision périphérique très bonne et détectent facilement les formes et les mouvements à distance.
Lorsque la nuit arrive, les loups ont une vue qui est nettement supérieure à celle de l'homme.
Une couche de cellules réfléchissantes tapissent le fond de leurs yeux, leur permettant ainsi de
capter et d'intensifier les faibles sources de lumière.
Développement et apprentissage
Évolution du louveteau.
A leur naissance, les louveteaux naissent sourds et aveugles avec les oreilles tombantes. Ils ont les yeux bleus au départ, puis ils deviennent jaunes. Ils passent beaucoup de temps à dormir entassés les uns sur les autres pour se tenir chaud car il n'ont pas encore le réflexe de frisson thermique. Par contre, ils détiennent le « Rooting reflex » (réflexe de fouissage) qui les aident à localiser les tétines. Les petits sont complètement dépendants de leur mère, c'est elle qui va les protéger, les nourrir, les nettoyer durant les semaines à venir.
Cependant, la louve ne sera pas seule à éduquer ses louveteaux puisque les loups adultes vont également prendre part à leur éducation. Deux semaines après leur naissance, ils ouvrent les yeux et commencent à entendre à partir de la troisième semaine.
Au bout de trois semaines, les louveteaux quittent la tanière pour explorer leur environnement. Durant cette période, ils vont développer leurs vocalises et apprendre à hurler, grogner et japper. Leur vue va devenir effective et ils seront en mesure de repérer le vide.
Ils seront allaités pendant six semaines et ensuite nourris par des proies que la louve aura régurgitées devant eux.
A l'âge de six mois, ils vont découvrir le système de hiérarchie et vont ainsi se rendre compte qu'ils ne peuvent manger lorsqu'ils le souhaitent mais qu'il doivent attendre leur tour.
Des louveteaux qui s'amusent...
Relations sociales
Aboiement et hurlement
Les loups aboient peu. Ils peuvent notamment aboyer lorsqu'ils sont surpris. Dans ce genre de situation, il s'agit d'une alerte face à l'intrus. Le loup est plus enclin au « hurlement », ce procédé étant plus utile pour lui dans la nature puisqu'il peut se faire entendre à une dizaine de kilomètres de distance par d'autres loups. C'est là son principal moyen de communication pour émettre un message à longue distance. Les louveteaux sont capables de hurler à partir de vingt-deux jours.
Le hurlement peut avoir plusieurs significations :
il permet d''établir le contact entre plusieurs familles,
il peut prévenir d'un danger imminent, localiser et identifier un individu isolé.
Cependant, le loup peut également exprimer ses sentiments via un hurlement (transmettant ainsi sa douleur ou au contraire, sa joie).
Peur et agressivité
La peur est une émotion vitale indispensable qui survient lorsqu'un individu se sent en danger (réel ou imaginaire) et qui nécessite une réaction adaptative par la fuite, l'immobilisation ou l'agressivité.
Le louveteau ne découvrira ce sentiment que tardivement puisque c'est entre le troisième et le cinquième mois qu'il devient tout à coup très peureux face à de nouveaux stimuli. La posture de l'animal va alors changer en cas de peur : ce dernier va saliver, tenir la tête basse, avoir les oreilles plaquées en arrière et la queue entre les pattes arrières.
Menaces et morsures
A l'origine de la menace, un sentiment de peur ou une démonstration de domination. Le loup menaçant aura alors le regard fixé sur son adversaire, ses babines retroussées montrant ses incisives et ses canines, sa stature sera droite se tenant ainsi haut sur pattes, les poils de son dos dressés avec la position de sa queue droite, quasiment à la verticale. Il aura la tête haute et les oreilles dirigées vers l'avant. Plus le conflit sera important, plus l'intensité de la menace sera dense.
A noter que les conflits sont plutôt rares au sein de la meute. Les bagarres éclatent plutôt à l'époque du rut puisque la place de « l'Alpha » est remise en question. Ces attaques peuvent mener à la mort bien que ce soit peu fréquent. Pour information, la morsure du loup atteint une grosse pression.
Quant à une éventuelle attaque d'un loup envers un humain, n'ayez crainte car le loup grâce à son ouïe très développée garde une bonne distance avec nous. Il a peur de l'homme et nous craint.
Jeux
De manière générale, les loups communiquent via des signaux visuels qui sont basés sur le langage corporel. Ils exposent de la même manière leur joie au moment de jouer : bouche ouverte, langue qui pend, oreilles qui pointes. Parfois, ils sautent et bondissent droit en l'air lorsqu'ils souhaitent manifester leur gaîté. Il est important de souligner que le jeu fait partie des activités communes aux canidés : les loups aiment s'amuser avec leurs congénères.
Le jeu est un excellent moyen pour les plus jeunes d'appréhender diverses situations futures auxquelles ils seront confrontés un beau jour. Par ce biais, ils apprennent les comportements de soumission, de domination, et peuvent simuler des situations de combat. Lors de ces interactions, on peut observer un loup qui va lécher les babines de l'autre en signe de soumission et d'apaisement. Cette activité lui permet de se défouler et d'évacuer toutes les tensions accumulées jusqu'à cet instant. Les jeux sociaux sont ainsi très fréquents et ont tendance à augmenter au cours de la première année. Le jeu va permettre aux louveteaux d'anticiper certaines situations une fois adultes. Ils vont ainsi apprendre les différents comportements que l'on peut adopter face à un congénère. Le comportement de chasse peut paraître inné chez les louveteaux. Cependant, ils devront acquérir les stratégies et techniques de chasse en partie grâce aux jeux qu'ils partageront avec les autres membres de la meute. La manière d'attaquer une proie, la faire flancher sur le sol, les louveteaux vont vite découvrir la façon dont il faut s'y prendre par le biais des jeux de bagarre et de poursuite.
Le jeu constitue une activité fondamentale dans l'apprentissage et le développement des louveteaux. C'est à travers le jeu qu'ils vont pouvoir se construire et évoluer au milieu de leurs semblables.
Hiérarchie (dominance ,soumission , meute).
La hiérarchie est un système social qui englobe un ensemble de codes prédéfinis et connus par tous les membres faisant partie de ce groupe. Au sein de cette organisation, certains individus auront un accès privilégié à des ressources limitées (par exemple, le mâle « Alpha » se servira le premier en nourriture).
Au sein d'une meute de loups, l'ordre social et la communication sont très développés de manière à ce que chacun connaisse sa place. La meute est composée de deux à huit loups comprenant le couple reproducteur (également appelé « couple Alpha »), les louvards (jeunes de l'année précédente), les louveteaux de l'année et les autres adultes. Leur système de fonctionnement est très élaboré et leur permet d'éviter de nombreux conflits internes tout en assurant une bonne coordination des activités entre membres; leur survie en dépend. Quant au loup « Alpha », il se sert très rarement de la violence pour marquer sa dominance. Il lui suffit de regarder fixement un loup subalterne pour que ce dernier recule. Son rôle principal est de veiller sur la meute et d'assurer sa sécurité. C'est lui qui va prendre toutes les décisions du groupe (lieu où dormir, départ pour la chasse, temps de jeux, etc...). L'ordre hiérarchique est remis en cause tous les ans en période de rut.
Territoire et marquage.
Les loups ont une très bonne capacité d'adaptation et se déplacent souvent sur de très longues distances afin de coloniser régulièrement de nouveaux territoires. Peu leur importe si le lieu semble hostile avec, par exemple, des températures très basses ou une végétation qui se fait rare.
On les trouve en effet dans tous les types d'habitats : la toundra, les bois, les plaines ouvertes et les abords des régions désertiques. Leur priorité est de trouver suffisamment de proies pour subvenir aux besoins alimentaires de la meute.
La superficie du territoire peut varier : allant de 52 km carré pour une meute de cinq individus au Minnesota à au moins 1 779 km carré pour une meute de huit à dix loups au Canada.
Chaque meute a un territoire bien délimité et évite soigneusement tout contact avec d'autres meutes. L'un des moyens pour avertir les autres animaux qu'ils sont sur un territoire occupé est le marquage. Il est d'ailleurs deux fois plus important aux limites du territoire qu'à l'intérieur de la zone protégée.
Pour les loups, le marquage du territoire par les crottes et l'urine est essentiel à la vie sociale.
Retour du loup gris en France
En France, la lutte contre les loups commence dès 813 avec la création de la Compagnie de la louveterie par Charlemagne. A la fin du XVIIIème siècle, François de Beaufort estimait entre trois mille et sept mille le nombre de loups vivant sur le territoire français. A cause d'une persécution organisée, l'espèce a disparu autour des années 1930.
Le loup, grâce à sa faculté d'adaptation, a appris à vivre dans des milieux naturels très divers : steppes, savanes, déserts, montagnes, forêts, maquis, landes. Ayant longtemps été pourchassé par l'homme, il privilégie de manière générale les lieux reculés en haute montagne ou en forêt afin de l'éviter. Il faut savoir que le loup se déplace sur de très longues distances et recolonise de manière naturelle de nouveaux territoires. C'est ainsi qu'une soixantaine d'années plus tard, il revient dans les Alpes du Sud. Le loup gris (Canis lupus) a recolonisé une grande partie des Alpes depuis le début des années 1990, plus précisément depuis novembre 1992 où il a été aperçu dans le Mercantour.
Son retour sur le territoire français a été source de débat : la question était de savoir s'il avait été réintroduit par l'homme ou s'il était revenu de façon naturelle. Ce débat a fait polémique car sur un plan juridique le statut du loup n'est pas le même. Dans le cas de la réintroduction du loup par l'homme, il aurait été plus facile de l'éliminer en cas de gêne. Cependant, il a été prouvé grâce à plusieurs études s'appuyant sur l'analyse génétique que le loup avait bel et bien recolonisé la France naturellement. Il est probable que ce soient des loups issus des Abruzzes et peut-être certains venant des Apennins du Sud qui sont aujourd'hui en France. A noter que le loup n'a jamais disparu en Italie et de plus, l'espèce n'a cessé d'augmenter depuis les années 1970"Canis lupus", espèce protégée
Il faut savoir que le loup gris est protégé juridiquement à différents niveaux : au niveau européen et au niveau du gouvernement français.
En Europe, le loup est protégé par la Convention de Berne (1979) transcrite dans le droit français en 1989. Il est inscrit dans les annexes II et IV de la directive “Habitats” de l’Union Européenne et fait partie des espèces prioritaires.
En France, l’espèce est protégée sur le territoire national par l’arrêté ministériel du 22 juillet 1993 publié à la suite des premières observations attestées sur le loup en France (mis à jour le 23 avril 2007). Ce statut implique pour la France de veiller à la conservation de l’espèce et de ses habitats. Ainsi, depuis le 22 juillet 1993, il est interdit de capturer ou d'éliminer volontairement un loup, ces actes étant passibles de poursuites judiciaires.
La cohabitation avec le loup n'est certes pas facile mais aura à terme une conséquence positive sur notre environnement naturel. Les loups permettent de diversifier la faune sauvage et même de l'enrichir. Plus la diversification des espèces animales sur un territoire sera conséquente. plus l' impact du loup sur le tourisme sera grand.
A travers le monde, de nombreux centres pour la protection du loup se développent et visent à mieux faire connaître le loup. Dans certains pays, le loup peut avoir un impact considérable sur l'économie locale car il pique la curiosité des touristes qui viennent nombreux visiter ces parcs nationaux.
Prenons l'exemple du Parc de Yellowstone : à Yellowstone, des dizaines de milliers de touristes viennent chaque année voir les loups, augmentant ainsi de 35 millions de dollars l'économie locale.
Autre exemple, celui du Parc National des Abruzzes qui accueille annuellement jusqu'à 2 millions de visiteurs par année. Une grande partie de la population locale, devenue complice de la bonne intégration de ces animaux sauvages, revendique leur présence, désormais bénéfique pour l'économie locale.
Parc de Yellowstone.
Aujourd'hui en France nous n'avons pas de chiffre.
Comportementaliste canin :
Le comportementaliste canin correspond à un type de profession spécifique qui peut vous aider
en cas de dysfonctionnement du comportement de votre animal.Le métier de comportementaliste
a été créé et défini
en 1986 par le docteur en éthologie Michel Chanton
Puis, les éducateurs canins ont créé leur propre formation d'éducateur-comportementaliste
basée sur un conditionnement plus respectueux du chien (non-coercitif), sous l'impulsion
d'éducateurs célèbres comme Ian Dunbar (aussi docteur vétérinaire), Jean Lessard ou
Barry Eaton.
Une approche systémique et éthologique.
La profession de comportementaliste canin se base sur 2 approches essentielles à l'exercice de ce métier : la méthode systémique et l'éthologie.
La méthode systémique
La systémique (ou théorie des systèmes) est avant tout une méthode d'analyse de sujets ou de problématiques complexes. Elle s'attache à mettre en évidence :
les relations existant au sein d'un système (système familial du chien, par exemple) ;
les relations de ce système avec d'autres systèmes extérieurs (les amis, la famille, les voisins, le vétérinaire, le club canin, les médias, etc.).
L'objectif de la méthode systémique est de déterminer le plus précisément possible où se
situent les causes de dysfonctionnement relationnel avec l'animal.
Qu'est-ce que l'éthologie ?
L'éthologie se définit comme la science du comportement animal. Elle revêt 2 aspects :
l'un basé sur la biologie et une méthodologie spécifique d'observation et d'étude des
comportements ;
l'autre pluridisciplinaire qui intègre différents courants scientifiques comme la paléontologie,
la zoologie, la génétique, la médecine, la neurobiologie, la psychiatrie, l'écologie, etc.
L'éthologie permet donc de définir et situer :
le comportement du chien en lui-même (que fait-il ?) ;
le but de son comportement (à quoi cela lui sert-il ?) ;
ce qui déclenche son comportement ;
ce qui fait « naturellement » (ou non) s'arrêter ce comportement.
Voilà en quoi consiste ma fonction, elle vous permettra de créer un lien très fort avec votre
chien, ou recréer ce lien.
Ma perspective et de vous apprendre à mieux comprendre votre chien et d'être toujours en
harmonie avec lui, et surtout !!!!stoppé les abandons .
A lire et à partager !!!
La police dit maintenant si vous voyez un chien enfermé dans une voiture par temps chaud, prenez une photo du chien et de la voiture. Si quelqu'un est avec vous, demandez-leur d'afficher la météo pour votre zone sur leur téléphone afin que vous puissiez filtrer la température dans l'écran, puis briser la fenêtre de la voiture. De cette façon, vous ne serez pas accusé de dégâts criminels et cela donne à la police des preuves photographiques pour amener les propriétaires de chiens devant les tribunaux.
Est-ce que tout le monde peut copier et coller ces informations pour éviter que cet acte cruel ne se produise?
L'été arrive..
Merci de partager un max.
Il tire la langue .
Il est tout à fait naturel pour un chien de tirer la langue. C'est en effet la manière qu'ont les chiens de réguler leur température. Un chien qui tire la langue ne doit donc pas inquiéter son maître, à moins qu'il ne se mette soudain à tirer la langue en toutes circonstances, ou que l'animal souffre d'autres symptômes.
Toutes les infos dans notre article.
Pourquoi les chiens tirent la langue ?
Comme le reste du corps, la langue du chien est une manière pour lui de s'exprimer. C'est aussi un outil indispensable pour l'aider à se rafraîchir. Voilà pourquoi tous les chiens tirent la langue de manière régulière.
Rôle de la langue pour la température corporelle du chien
Si cela peut paraître curieux, le chien utilise avant tout sa langue pour réguler sa chaleur corporelle.
Tirer la langue lui permet d'évacuer la chaleur, notamment en inspirant de l'air frais. Voilà pourquoi un chien a tendance à plus tirer la langue et à haleter en cas de grosse chaleur, ou encore après un exercice physique.
Notez que certains chiens peu habitués à la chaleur peuvent se mettre à haleter et à respirer plus fort durant l'été.
Bon à savoir : contrairement à la pensée populaire, les chiens sont tout à fait capables de transpirer, leur sueur est tout simplement moins visible. Il est donc inexact de considérer qu'un chien « transpire » par la langue.
Autres situations durant lesquelles un chien peut tirer la langue
D'autres cas peuvent également expliquer qu'un chien tire la langue :
• L'animal peut instinctivement tirer la langue à l'approche de ses croquettes ou de sa gamelle d'eau. C'est une manière de se préparer à manger.
• Certains chiens prognathes ont toujours la langue tirée, à cause de leur mâchoire. C'est par exemple très fréquent chez le bouledogue français.
• Il arrive qu'un chien ait l'habitude de tirer la langue en dormant.
Bon à savoir : un chien qui tire la langue a peut-être simplement trop chaud. Veillez à réguler l'air ambiant et à toujours laisser une gamelle d'eau fraîche à votre animal.
Il tire la langue
Mon chien tire la langue tout le temps : que faire ?
Il arrive que certains chiens tirent la langue en permanence. C'est généralement le cas des chiens prognathes, dont les deux mâchoires ne sont pas parfaitement symétriques.
La langue dépasse alors naturellement de la gueule du chien, puisque le chien ne peut pas la contenir.
Mis à part le côté inesthétique de la chose, une langue qui dépasse ne va pas déranger le chien.
Faut-il voir un vétérinaire si mon chien tire la langue ?
Comme vu plus haut, il est tout à fait naturel pour un chien de tirer la langue. Ce n'est donc pas une urgence vétérinaire.
À moins que votre chien se mette soudainement à tirer la langue de manière continue, et que cela vous semble inhabituel, il n'est pas nécessaire de vous inquiéter.
Cependant, pensez à consulter immédiatement votre vétérinaire si cela s'accompagne d'autres symptômes : apathie, respiration forte, vomissements, changement d'humeur, perte d'appétit, etc.
Bon à savoir : un chien âgé qui se met à tirer la langue de plus en plus souvent souffre peut-être de problèmes respiratoires. Consultez un spécialiste pour en avoir le cœur net.
Vos enfants se grattent après avoir passé un week-end à la campagne à jouer avec le chat et le chien des voisins ?
Les démangeaisons sont localisées principalement aux chevilles et aux jambes ? Vous avez repéré des petites taches de sang dans leurs vêtements et la literie ? Aucun doute, ils ont été victimes d'une puce. Les piqûres de cet insecte provoque en effet de fortes démangeaisons, parfois des réactions allergiques. Il arrive aussi, bien que très rarement, que les puces transmettent des maladies. Pour les combattre et venir à bout d'une infestation, voici expliqué en détail comment lutter contre les puces.
Zoom sur les puces
De couleur brun-noir, mesurant entre 1 et 6 mm, la puce présente plusieurs particularités.
• C'est un insecte sauteur : grâce à ses pattes puissantes, elle peut en effet sauter d'un seul bond jusqu'à 30 cm de distance.
• C'est également un insecte piqueur et suceur : elle se nourrit du sang de son hôte (les mammifères, dont l'homme).
• Les puces les plus courantes sont celles du chien et du chat.
À savoir : on entend parfois parler de « puces de lit » ; il s'agit là d'un abus de langage, car en réalité ce ne sont pas des puces, mais des punaises,contre lesquelles le traitement sera différent.
Une infestation très rapide
En raison de leur mode de reproduction, l'infestation se produit avec une grande rapidité, d'où l'importance d'effectuer un traitement contre les puces le plus rapidement possible.
• Après accouplement, les puces femelles pondent dans les poils de l'animal hôte 30 à 50 œufs par jour pendant une période qui peut durer 2 mois.
• Lors des déplacements de l'animal, les œufs de puce tombent un peu partout et éclosent rapidement.
• Les larves s'infiltrent alors dans de multiples endroits de la maison : fissures du plancher, rainures du parquet, replis d'un canapé, sous les tapis...
• Entre l'œuf juste pondu et la larve parvenue au stade adulte, 3 semaines seulement s'écoulent.
Important : si les piqûres de puces causent de fortes démangeaisons à votre enfant, consultez un médecin ; il lui prescrira une crème efficace.
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Traitez au plus vite les puces sur l'animal
Si votre chat ou votre chien se gratte, il a vraisemblablement des puces. Il est important de le traiter au plus vite, de même que ses jouets et les objets en contact avec lui.
En outre, même si vos autres animaux domestiques ne présentent pas de signes d'infestation, il est indispensable également de procéder à un traitement anti-puces oral et/ou cutané.
• Le traitement oral (comprimés, ampoules) est prescrit par le vétérinaire pour chaque animal.
Mise en garde : ne traitez jamais un chat avec un produit antiparasitaire pour chien et vice versa, cela pourrait être très dangereux.
• Le traitement cutané antiparasitaire se présente sous différentes formes (pipettes, sprays, etc.), disponibles chez le vétérinaire, en pharmacie ou en animalerie.
Important : dans tous les cas, respectez strictement les doses et le mode d'emploi.
Outre ces traitements, un nettoyage s'impose.
• Secouez à l’extérieur les couvertures et autres objets lavables en contact avec vos animaux, puis lavez-les à 60 °C.
• Concernant les objets qui ne peuvent pas passer au lave-linge (panier, niche, etc.), secouez tous ceux qui peuvent l'être à l’extérieur, puis traitez-les tous avec un aérosol spécial anti-puces.
2
Exterminez les œufs et les larves de puces de la maison
Le jour où vous traitez vos animaux, assainissez aussi complètement la maison. Deux méthodes sont possibles.
Au nettoyeur vapeur ou à l'aspirateur
Si vous avez un nettoyeur vapeur, passez-le partout dans la maison :
• sur le sol, en insistant sur les rainures si vous avez du parquet,
• sur les meubles, en particulier les fauteuils, canapés, coussins, etc.
À défaut de nettoyeur vapeur, passez très soigneusement l'aspirateur dans toute la maison :
• insistez bien sur les endroits mentionnés ci-dessus ;
• retirez le sac de l'aspirateur et, si possible, brûlez-le ;
• vaporisez ensuite un aérosol anti-puces sur le sol, les meubles et les objets en contact avec vos animaux.
À l'aérosol
Traitez les différentes pièces à l'aide d'un aérosol à diffusion automatique (« fogger ») : ces insecticides en bombe autodiffusante existent en plusieurs tailles, selon la surface concernée.
• Pour plus d'efficacité, mieux vaut acheter plusieurs petites bombes plutôt qu'une seule.
• Respectez scrupuleusement le mode d'emploi, notamment :
• fermez toutes les fenêtres,
• ouvrez les portes des placards,
• et faites sortir tout le monde, animaux compris, de la maison dès que vous avez lancé la diffusion.
Remarque : la méthode ancienne par fumigation a tendance à être abandonnée au profit du « fogger », plus simple d'utilisation et très efficace.
3
Traitez à nouveau pour éviter toute nouvelle infestation de puces
Lorsque vous avez traité une première fois la maison, les animaux ainsi que leurs objets, vous devez attendre 15 jours avant de refaire à nouveau toutes les opérations. En effet, durant ce laps de temps, les puces adultes ont pu pondre d'autres œufs.
À savoir : si vous avez un jardin, il risque d’être contaminé également ; gardez autant que possible vos animaux à l'intérieur pendant 30 jours.
Afin de contrer toute nouvelle infestation, traitez régulièrement vos animaux :
• administrez tous les mois les mêmes traitements que ceux curatifs (voie orale, pipette ou spray) ;
• adoptez les traitements naturels évoqués à l'étape 2 ;
• brossez et peignez très régulièrement la fourrure de vos animaux ;
• secouez régulièrement les paniers, couvertures, etc., à l'extérieur ;
Surtout, soyez attentif au comportement de vos animaux domestiques. Dès qu'ils commencent à se gratter, commencez le traitement anti-puces.
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Procédez à des traitements préventifs anti-puces
Lutter préventivement contre les puces vous évitera des traitements fastidieux par la suite. Plusieurs méthodes donnent de bons résultats, surtout si elles sont combinées :
• procédez à un bon brossage de votre animal, suivi de coups de peigne réguliers avec un peigne anti-puces ;
• posez-lui un collier anti-puces acheté dans le commerce, même s'il n'est pas efficace à 100 % ;
• frictionnez son pelage avec une lotion à l'huile de neem (5 ml d'huile végétale de neem mélangée à 10 ml de vinaigre blanc) ;
• pour les chiens, pensez aux huiles essentielles telles que celles de citron, cèdre, citronnelle, eucalyptus, lavande, menthe poivrée ;
• pour les chats, évitez les huiles essentielles mais privilégiez les hydrolats.
À savoir : ces lotions, huiles essentielles ou hydrolats sont également efficaces en pulvérisation sur les paniers et les canapés.
Tiques chez le chien :
5 endroits insoupçonnés ou elles se cachent
Il vous est certainement déjà arrivé de caresser votre chien, et de sentir une petite boule sur sa peau. Après vérification, le verdict est sans appel : (encore) une tique ! Ces parasites, qui se fixent sur la peau d’un hôte pour absorber son sang, peuvent s’attraper de diverses façons et se loger sur différentes parties du corps de votre toutou. Voici donc les 5 endroits à regarder en priorité, pour débarrasser votre chien de ces sangsues !!!!!
Qu’est-ce qu’une tique ?
Appartenant à la famille des arachnides acariens, la tique est un ectoparasite ; un parasite externe qui vit sur le corps d’un hôte. Une fois accrochée fermement sur la peau, elle se nourrit de son sang grâce à un rostre (une sorte de crochet lui permettant de mordre l’épiderme).
Comme les moustiques et les autres parasites buveurs de sang, la tique est évidemment vectrice de nombreuses maladies – dont la paralysie de la tique et la fameuse maladie de Lyme. En effet, lorsqu’elle se fixe sur la peau, elle peut absorber diverses pathologies (bactéries et virus touchant les animaux et/ou les humains). En devenant un porteur sain, elle peut alors les transmettre d’un hôte à l’autre par voie sanguine.
En dehors des maladies qu’elle propage, la tique peut également provoquer des allergies, notamment chez les humains. La salive du parasite provoque alors une réaction de rejet, qui peut se manifester sous forme d’urticaire, d’œdème ou même de choc anaphylactique. Les morsures de tiques doivent donc être prises très au sérieux !
Comment votre chien attrape-t-il des tiques ?
Tout le monde peut attraper une tique : elle peut aussi bien sucer le sang d’un mammifère (y compris un homme), que d’un oiseau ou même d’un reptile. Mais pour quelles raisons ?
En attendant de s’accrocher à un hôte, la tique se cache généralement dans les buissons, les branchages et les hautes herbes. C’est pour cette raison qu’un chien attrape souvent des tiques au cours d’une promenade en forêt, ou même en jouant simplement dans le jardin. Il est en effet le candidat idéal pour une tique, puisqu’elle peut facilement s’agripper à ses poils, avant de le mordre. Notez aussi que ces parasites sont plus virulents en automne et au printemps, par temps frais (maximum 20°) et humide. Durant ces périodes, redoublez donc de vigilance !
Même si elles peuvent se situer n’importe où sur le corps du chien, les tiques se logent généralement dans les zones chaudes et difficiles d’accès. Et leur très petite taille ce qui complique d’autant plus leur détection. Afin de stopper la multiplication de ces parasites et limiter les risques de contamination, il est donc essentiel de les trouver rapidement sur la peau de votre chien… et surtout de vous en débarrasser correctement ! Pour augmenter vos chances de les détecter, voici les 5 zones à vérifier en priorité.
1. Sur l’aine
L’aine n’est certainement pas le premier endroit où l’on pense à chercher des tiques. Pourtant, elles apprécient particulièrement cette zone… De manière générale, ces parasites privilégient les zones sombres et humides du corps. Vérifiez donc l’aine de votre chien, mais également toute sa partie péri-anale et sa queue.
2. Entre les orteils
Comme nous l’avons vu, les tiques aiment les endroits chauds, difficiles d’accès et potentiellement humides. Les pattes de votre chien répondent aux critères ! Même si les parasites peuvent avoir des difficultés à s’accrocher entre les orteils, ils apprécient particulièrement cette zone une fois qu’ils y sont fixés.
3. Les oreilles
Ces suceurs de sang peuvent également se loger derrière les oreilles de votre compagnon – dans les plis – mais aussi à l’intérieur. Ils peuvent même se glisser sous ses babines. Ces endroits peu accessibles sont d’autant plus prisés par les tiques qu’ils comprennent beaucoup de vaisseaux sanguins. Alors vérifiez-les scrupuleusement !
4. Sous le collier et les vêtements
Si votre chien porte constamment son collier, vous pouvez facilement oublier de regarder la présence de tiques en dessous. Grosse erreur ! Pensez toujours à retirer le collier, le harnais et tout autre vêtement de votre chien pendant l’inspection. Un parasite peut facilement se cacher en dessous…
5. Sur les paupières
Il est parfois difficile de distinguer une petite boule de peau d’une tique, surtout lorsque celle-ci est fraîchement attachée et donc peu gonflée. Cette confusion est notamment fréquente sur les paupières, où des petits polypes apparaissent souvent. En cas de doute, observez attentivement la boule suspecte et s’il s’agit effectivement d’une tique, retirez-la délicatement. En cas de doute, n’hésitez pas à contacter votre vétérinaire.
Tiques chez le chien : traitement et prévention.
Pour éviter à votre compagnon d’attraper des tiques, soyez préventif :
Un collier « anti tiques et puces » réduit grandement les risques, sans les supprimer totalement. Généralement efficace un à deux mois, il faut le changer régulièrement pour conserver son effet répulsif. Et si votre chien se baigne souvent, assurez-vous que le collier soit waterproof !
Certains insectifuges sont conçus pour éloigner les puces et les tiques. On les administre une fois par mois soit par voie orale, soit directement sur le dos du chien à l’aide d’une petite pipette.
Évitez autant que possible les lieux réputés pour la présence excessive de tiques.
Après chaque promenade, vérifiez scrupuleusement la peau de votre chien pour détecter d’éventuelles tiques, en insistant sur les 5 zones clés. Si votre compagnon a été mordu malgré vos précautions, retirez l’insecte immédiatement et proprement. Il est primordial de bien enlever toute la tique sans l’écraser (y compris sa tête), pour éviter tout risque d’infection par la suite. Pour la retirer correctement, utilisez une pince à épiler ou, encore mieux, une petite pince à crochets prévue à cet effet. Vous en trouverez en pharmacie ou chez votre vétérinaire. Ensuite, brûlez l’insecte ou noyez-le dans de l’alcool à 90° ou de la javel, pour bien détruire tous ses microbes. Attention, ne touchez jamais une tique à mains nues !
Les jours suivant la morsure, restez attentif aux éventuels symptômes (fatigue extrême, perte d’appétit, apathie, etc.) d’une infection transmise par la tique. Si votre chien semble malade, consultez votre vétérinaire.
Conclusion
La tique peut donc s’accrocher sur n’importe quelle zone du corps de votre chien, même si elle a une préférence pour les endroits chauds, peu accessibles et potentiellement humides. Après une promenade dans la nature, vérifiez donc en priorité l’aine, les oreilles, les pattes et les paupières de votre compagnon… sans oublier de regarder sous son collier !
La pulsion et l'instinct.
Instincts,pulsions, et mémoires.
On pensait autrefois qu’un chien n’agissait qu’en fonction de son « instinct », terme un peu vague qui désigne une série d’actions automatiques innées, c’est-à-dire ni acquises ni « apprises ». Ces actions sont réalisées dans un but précis que le chien ne connaît cependant pas.
C’est le cas par exemple de la chienne qui est sur le point de mettre bas et qui lacère des tissus et se prépare un endroit chaud et doux. Personne ne lui a jamais appris à le faire et elle ne peut pas savoir « pourquoi » elle le fait quand il s’agit de sa première portée : la chienne sait « instinctivement » qu’elle doit le faire.
De même, à la naissance des chiots, elle sait qu’elle doit leur couper le cordon ombilical, les lécher pour stimuler leurs réponses vitales, les allaiter, etc...
S’il est vrai que les actes instinctifs sont innés, cela ne signifie pas qu’ils soient incontrôlables. En gardant l’exemple précédent, la chienne peut très bien ne pas s’occuper de ses petits si elle est appelée par son maître : dans ce cas, le dressage prend le pas sur l’instinct.
En allant un peu plus loin, on peut voir que la même mère peut désobéir à un appel normal de son maître parce qu’elle « sent » qu’il est préférable de continuer à s’occuper de ses chiots (dans ce cas, l’instinct semble prendre le dessus sur l’éducation) ; toutefois, elle peut quitter rapidement son panier si elle comprend que son maître est en danger et qu’il a un besoin urgent d’elle.
Dans ce dernier cas, on peut dire qu’il s’agit d’un véritable « raisonnement » qui a conduit la chienne à définir des priorités. L’instinct n’est donc pas maître du chien, et le contraire est également vrai.
Plus que l’instinct, ce sont les impulsions ou pulsions, c’est-à-dire les réponses que l’animal fournit à différentes stimulations clés, qui sont importantes dans l’esprit du chien. Ces pulsions peuvent être héréditaires (pulsion pour la chasse, le jeu, la défense, la curiosité) ou bien acquises (par expérience directe ou par le dressage).
On peut également les diviser en pulsions « hétérophiles », ou de type altruiste (vigilance,
soumission à l’homme, fidélité, confiance, docilité) et en pulsions « égophiles », ou de type
égoïste (jeu, lutte, défense, pulsion vers la nourriture, le sexe, etc.).
Les pulsions héréditaires sont innées chez le chien, comme les instincts. La possibilité
d’acquérir d’autres pulsions est au contraire directement proportionnelle à la faculté
du chien de mémoriser ses propres expériences ou les enseignements reçus. À ce propos, il peut être utile de rappeler que le chien possède trois types de mémoire : mécanique, affective et associée.
La mémoire mécanique est la faculté de se souvenir d’actions accomplies précédemment et de pouvoir les reproduire (par exemple, le chien d’arrêt se met à terre à chaque fois qu’il entend le coup de fusil).
La mémoire affective est la faculté de se souvenir et de reproduire des états d’âme liés à des conditions particulières (par exemple, un chien est excité quand il voit son maître prendre la laisse pour se préparer à sortir en promenade).
La mémoire associée, enfin, correspond à la faculté de relier un geste à un mot (ordre du maître)
et donc d’exécuter un geste déterminé après un mot déterminé.
Votre chien a la fâcheuse habitude d’avaler tout ce qui lui passe par la gueule ? Dans le jargon canin, on appelle ce comportement le pica (ou picage).
Chaussettes, crottes, morceaux de plastique, clous, morceaux de verre, végétaux, cailloux … tout y passe chez les chiens « picavores ». Et, manger tout et n’importe quoi, n’est pas sans danger pour la santé de votre compagnon à 4 pattes.
Quels sont les risques ?
En fonction de la nature du corps étranger avalé, le chien risque :
– Une intoxication
– La contraction des maladies infectieuses et de parasites en ingérant des corps étrangers contaminés par des larves ou des œufs de parasite
– Des troubles digestifs qui vont de la simple irritation du tube digestif pouvant se traduire par de la diarrhée et/ou des vomissements, qui bien souvent, se solutionneront seuls à la sub-occlusion ou l’occlusion intestinale voire à la perforation digestive. Très préoccupantes, la sub-occlusion est une obstruction partielle des intestins et l’occlusion est une obstruction complète du tube digestif. Toutes les deux se traduisent par un fort ralentissement voire un arrêt complet de la progression des excréments dans le tractus digestif. Elles provoquent de fortes douleurs abdominales, et généralement des nausées et des vomissements. Si le corps étranger ingéré est dur et acéré, il peut également provoquer une perforation digestive. Le contenu des intestins se déverse alors dans l’abdomen provoquant une péritonite.
Que faire si mon chien a avalé quelque chose ?
Cela dépend bien évidemment de la nature du corps étranger avalé.
Si le corps étranger est digestible (exemple : crottes, végétaux non toxiques, terre…), votre chien va tout simplement digérer l’objet du délit. Pensez simplement à vermifuger votre toutou tous les 2 mois – au lieu des 6 mois généralement recommandés- si cette manie devient une habitude.
Si le corps étranger est digestible mais susceptible de provoquer une intoxication (exemple : chocolat, végétaux traités avec des pesticides, plantes toxiques pour les chiens comme le lys ou cyclamen), contactez immédiatement votre vétérinaire qui vous indiquera la marche à suivre. Il sera peut être nécessaire de faire vomir votre animal si l’ingestion a eu lieu moins de 2 heures avant que vous vous en rendiez compte.
Si le corps étranger est un objet solide non digestible, ne tentez en aucune manière de faire vomir votre chien. La « remontée » de l’objet en sens inverse pourrait provoquer plus de dégâts que de laisser faire la nature. Donnez immédiatement environ 200 g de blancs de poireaux cuits à manger à votre chien. Le poireau a la capacité d’enrober le corps étranger et de le faire progresser plus aisément dans le tube digestif en vue de son expulsion dans les excréments. Surveillez les selles de votre chien. Si ses excréments contiennent du sang ou s’il ne fait pas ses selles, courez chez votre vétérinaire en urgence. Cela peut être le signe d’une perforation ou d’une occlusion intestinale. Dans le cas inverse, continuez le régime à base de poireau matin, midi et soir pendant 3 jours en plus des repas habituels. Il est essentiel d’aller à la « chasse au trésor » dans les excréments de votre chien pour vérifier que l’élimination du corps étranger se fait correctement et entièrement. Si l’intégralité de l’objet avalé n’est pas ressorti au bout de 3 à 4 jours, consultez votre vétérinaire.
Au moindre comportement anormal du chien (perte d’ appétit, vomissements, ne fait plus ses besoins, diarrhée, dort beaucoup, ne joue plus…), consultez votre vétérinaire en urgence.
Un simple animal, à considérer et traiter comme un être vivant , ou un être doué de raison, juste différent de nous, mais pas pour autant inférieur ?
L’usage d’un langage implique des facultés intellectuelles et une capacité d’instaurer des rapports interpersonnels (ou... inter canins, si l’on préfère) sans aucun doute réservées à des animaux très évolués.
Il faut partir du principe que le chien pense, « parle », éprouve des sentiments, le tout à sa manière, bien entendu. Certains pourraient reprocher le fait de se fonder sur des sensations affectives et non pas sur des preuves scientifiques : voila donc comment convaincre les sceptiques et voyons si (et comment) le chien raisonne.
Le cerveau du chien comment sa fonctionne.
Le système cérébral du chien comprend trois parties principales :
- le cerveau proprement dit, qui régit l’apprentissage, les émotions ainsi que le comportement ;
- le cervelet, qui contrôle les muscles et leurs mouvements ;
- la moelle épinière, qui relie le cerveau au système nerveux.
Dans la mesure où le cerveau humain se structure de la même manière, il semble difficile de réfuter les thèses selon lesquelles le chien dispose d’un centre de contrôle parfaitement efficace et apte à élaborer des raisonnements complexes.
Le système limbique du chien
Comme chez l’homme, le système limbique contrôle dans le cerveau la mémoire et le niveau d’intérêt. Bon nombre d’études, réalisées tant en laboratoire que par le biais de l’observation éthologique, ont établi que le chien utilise ses sens d’une manière légèrement différente de celle de l’homme.
Tandis que nous avons normalement tendance (sans toujours y parvenir) à maintenir nos cinq sens simultanément ouverts, le chien sélectionne le sens principalement stimulé par une situation donnée, cependant que les autres se désensibilisent manifestement.
La sélection initiale est induite par le système limbique, justement, qui régit le degré d’intérêt suscité par un stimulus déterminé.
Il et tellement proche de nous notre loulou, il ne lui manque que la parole que nous les humains employons!!!!!!.
Les dangers des os.
Les chiens adorent rogner des os, c'est bien connu. Cependant, tous les types d'os ne sont pas adaptés aux chiens. Certains peuvent même être dangereux pour la santé de l'animal.
Le point maintenant.
Os pour chien : bienfaits
Certains os ne représentent aucun danger pour les chiens, et peuvent au contraire s'avérer très bénéfiques.
Intérêt des os
En plus de ravir votre chien, lui donner un os à ronger a différents intérêts :
• C'est une vraie friandise pour votre animal.
• L'os occupe le chien et lui permet d'être calme.
• Rogner un os renforce la mâchoire et les dents du chien.
• Cela entretient son hygiène bucco-dentaire.
Bon à savoir : l'os doit être une friandise exceptionnelle. Il ne faut pas en donner chaque jour à son chien.
Entrez en contact direct avec des professionnels afin d’obtenir un devis personnalisé.
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Quels os donner à mon chien ?
Cependant, il faut comprendre que tous les os ne sont pas adaptés au chien. Veillez à choisir avant tout :
• Les os de bœufs : tous les os naturels peuvent être dangereux pour le chien. Les plus adaptés restent les os robustes et solides, à l'instar des ossements de bœuf.
• Les os à mâcher pour chien : les os à mâcher conçus à partir de peau de bœuf restent les plus recommandés. En effet, ils ne comportent pas de risques pour l'animal.
Bon à savoir : les os à base de peau de bœuf sont sans danger pour le chien, puisqu'il peut tout à fait les avaler.
Os dangereux pour les chiens
Pour éviter que la friandise d'un jour se répercute en problème de santé à long terme, il est important de ne pas donner aux chiens des os qui peuvent être dangereux.
Os à éviter
Voici les os à éviter à tout prix :
• les os de poulet ;
• les os de lapin ;
• les os trop grands pour la gueule du chien ;
• les os pointus ;
• les os fragiles ou cassables.
Bon à savoir : même un os solide peut se briser avec le temps. Voilà pourquoi il ne faut pas laisser le même os trop longtemps à un chien.
Danger des os pour les chiens
Donner à un chien un os naturel comporte toujours des risques, en particulier lorsque les os peuvent se briser, ou si l'animal essaie d'avaler son os.
Les dangers pour le chien sont nombreux :
• dents cassées ;
• os coincé entre les dents ;
• saignements du rectum ;
• os coincé dans l'œsophage ;
• saignements à la langue ou à la gencive, etc.
Dans le pire des cas, un fragment d'os coincé peut nécessiter une opération chirurgicalepour être retiré. Cela peut entraîner de lourds problèmes de santé. D'où l'importance de ne pas donner n'importe quel os à son chien.
Os pour chien : les précautions à prendre
Il faut savoir qu'un chien peut devenir agressif quand vous lui donnez un os. Il est donc indispensable de prendre ses précautions :
• Veillez à ce que les enfants n'embêtent pas le chien quand il ronge un os.
• Laissez le chien tranquille et seul.
• N'essayez pas de retirer l'os de la gueule du chien.
• Attendez que l'animal se désintéresse de l'os pour le lui retirer.
Pour finir, pensez toujours à surveiller un chien lorsqu'il ronge
un os de bœuf ou d'animal. De cette manière, vous êtes sûr
qu'il n'est pas en train de le briser ou d'avaler des morceaux.
Un chien en bonne santé est un chien heureux et épanoui.
Prévenir et traiter les maladies dentaires chez les chiens, cela doit être l’une des priorités de tout propriétaire.
L’hygiène buccale est d’une grande importance et affecte beaucoup la santé d’un chien. Les maladies dentaires peuvent toucher des organes vitaux tels que le cœur, le foie, les reins… et causent des troubles pour la santé et le bien-être de votre animal de compagnie. Votre chien a-t-il les dents blanches et la gencive saine.
Ou plutôt des dents malpropres et des gencives aussi abimées.
Le régime alimentaire de votre animal est la première cause des maladies buccales. Grâce à quelques gestes simples efficaces, vous pouvez assurer une bonne santé dentaire à votre chien sans avoir systématiquement recours au nettoyage chez le vétérinaire, mais l'intervention et les conseils de ce dernier demeurent précieux. Voici quelques conseils utiles pour remédier aux problèmes dentaires de votre chien et améliorer sa santé buccale :
1. L’eau ozonée
Elle permet de rincer la bouche de votre chien. Songez donc à lui en donner de temps en temps.
2. Les huiles ozonées
Elles possèdent des propriétés antibactériennes pouvant être mises à profit pour la santé dentaire de votre chien.Ces huiles sont également une source de vitamine D.
3. Probiotiques
Donner à votre chien un supplément de probiotique chaque jour aide à préserver sa santé buccale.
4. Du bouillon d'os pour les minéraux
Nourrir son chien avec un bouillon d’os chaque semaine apporte des minéraux qui renforcent les dents et la gencive.
5. Un dentifrice maison pour votre toutou
Fabriquez un dentifrice à base de coquille d’œuf pour votre chien. Appliquer ce dentifrice au quotidien favorise la réparation des caries.
6. Misez sur la propolis
La propolis des abeilles est antibactérienne et antiparasitaire. Elle peut être utilisée pour réparer les parties infectées de la bouche de votre chien.
7. L'huile de noix de coco pour les gencives
L’huile de noix de coco et également antibactérienne et excellente pour la gencive.
8. Les vertus apaisantes de l'aloe vera
Votre chien manifeste des signes de douleurs buccales ? Appliquez de l’aloe vera qui est extrêmement apaisante
9. Le calendula contre les plaques
Le calendula réduit les plaques dentaires chez votre chien et stimule la cicatrisation.
10. L'homéopathie
Optez pour des remèdes homéopathiques pour reminéraliser les dents de votre chien et protéger sa santé buccale.
L'équilibre alimentaire.
Que ce soit un chiot ou un chien adulte, l'équilibre alimentaire est très important, mais aussi fragile. Ainsi, changer l'alimentation de votre chien trop rapidement peut déranger sa digestion.
Tout changement alimentaire doit être progressif...
Donner des restes de votre repas, changer les croquettes ou la pâtée pour chiens brusquement, car il n'y avait plus le modèle habituel en magasin représentent une très grosse erreur. Tout cela peut provoquer des démangeaisons sur l'arrière-train ou même la diarrhée.
Prenez soin de changer l'alimentation de votre chien en douceur. Sur une période de 7 jours, changez petit à petit les proportions de l'ancien aliment pour les remplacer par le nouveau chaque jour. Arrivé au 7e jour, le nouvel aliment doit composer l'ensemble du repas.
Soyez encore plus prudents avec les grandes races
Les chiens de grandes races peuvent rencontrer des problèmes supplémentaires lorsque vous modifiez leur régime alimentaire. En effet, les grands caractéristique d'avoir des excréments de moins bonne qualité que les petits chiens. ont la
L'explication réside dans le fait que le tube digestif des grandes races est naturellement plus long que celui des petits chiens. Ainsi, les aliments ont besoin de plus de temps pour le traverser et être digérés. Conséquence : votre (grand) compagnon est plus longtemps exposé aux bactéries qui causent la fermentation.
Un chien qui ne mange plus,
ne peut être un chien en bonne santé. L’anorexie canine est le signe que quelque chose ne va pas dans son corps ou son esprit. Plus elle dure et plus l’animal est en danger. Il est donc urgent de le faire examiner pour le sauver avant qu’il ne soit trop tard.
Les chiens ne sont pas à l’abri des troubles qui nous touchent, comme l’anorexie. Perdre l’appétit de manière durable n'estpas anodin chez le chien. Cela peut relever d’un dysfonctionnement du système nerveux central ou être le symptôme d’une maladie grave. Dans un cas comme dans l’autre, le chien doit être ausculté par le vétérinaire dans les plus brefs délais. Les causesde l’anorexie sont nombreuses et variées. Les traitements proposés le sont tout autant, dépendant des mécanismes qui sont à l’origine de ce mal.
L’anorexie due au dysfonctionnement du système nerveux central
L’anorexie canine peut être provoquée par un dysfonctionnement du système nerveux central de l’animal. Les signaux relatifs à la sensation de faimou de satiété envoyés au cerveau sont faussés, ce qui fait que le chien cesse de se nourrir. On parle alors d’anorexie primitive.
Un choc (traumatisme crânien, par exemple), une maladie grave touchant directement le cerveau ou un évènement stressant (déménagement, hospitalisation, disparition du maître…) sont autant de facteurs pouvant favoriser un dysfonctionnement du système nerveux central et précipiter le chien dans un état d’anorexie.
L’origine du problème est parfois à chercher du côté du comportement ou du mode de vie. Un changement de Régime alimentaire peut contraindre l’animal à refuser le nouveau type de nourriture qui lui est proposé. Une alimentation inadaptée, comme le fait de lui donner trop de friandises, est susceptible de produire le même effet.
L’anorexie consécutive à une maladie
L’anorexie survenant chez le chien peut, par ailleurs, être le symptôme d’une maladie sous-jacente. N’étant pas directement liée à un dysfonctionnement du système nerveux central, on parle alors d’anorexie secondaire dans ce cas-ci.
Les affections plus ou moins graves dont peut souffrir un chien peuvent, en effet, conduire ce dernier à cesser de s’alimenter. Un animal atteint d’insuffisance rénale, souffrant d’une gastroentérite, ayant un problème cardiaque ou accusant un diabète sucré verra forcément son alimentation affectée. Dans certains cas, cela peut carrément donner lieu à une forme d’anorexie.
Lorsque le chien ne peut s’alimenter alors qu’il a faim, s’il souffre de problèmes bucco-dentaires par exemple (gingivite, ulcère, accumulation de tartre…) qui l’empêchent de se nourrir, on parle alors de pseudo-anorexie.
Diagnostic et traitement de l’anorexie canine
Pour établir son diagnostic, le vétérinaire commence par consulter l’historique du chien, se renseigner sur son mode de vie, son alimentation, ses éventuels problèmes comportementaux et ses maladies passées.
Différents types d’examens sont ensuite menés. Il peut s’agir de palpations, d’une inspection de la bouche, de prise de température, d’analyses (urine, sang, radiographie, échographique, endoscopie…) ou de tout cela à la fois. L’objectif est d’identifier la cause de l’anorexie avec précision afin de déterminer le traitement à appliquer et les mesures correctives à apporter.
Si l’origine de la maladie est strictement médicale, le vétérinaire prescrira les soins adéquats. Si les causes sont comportementales, il donnera des conseils pour modifier l’environnement, l’alimentation et le ressenti du chien, notamment au moment des repas : arrêter les friandises, modifier les fréquences, faire en sorte que l’animal mange dans le calme et la bonne humeur, etc.
Ici vous trouverez tout les conseils utiles pour vivre en harmonie avec nos gentils compagnons
La fièvre chez le chien indique que le chien est malade, mais ne permet pas de savoir si la situation est grave ou non. Seule la température rectale est fiable.
La chaleur de la truffe peut être une indication mais elle n'est pas fiable. Pour savoir si votre chien a de la fièvre, il faut prendre sa température rectale. Au-delà de 39,5 °C, il faut consulter votre vétérinaire. La fièvre est associée à de très nombreuses maladies et seul un examen complet permettra d'en déterminer la cause.
Les causes de la fièvre chez le chien
La température normale du chien est comprise entre 38 et 39°. Si la température augmente, plusieurs mécanismes vont se déclencher dont le halètement. La fièvre est l'un des symptômes présents dans de très nombreuses maladies et les causes sont multiples. L'augmentation se fait sous le contrôle du cerveau afin de répondre à une agression par des microbes. La fièvre fait partie intégrante des phénomènes d'inflammation et permet d'aider le corps à se défendre.
PRESQUE TOUTES LES MALADIES INFECTIEUSES
La fièvre peut être déclenchée par la plupart des maladies infectieuses. Il peut s'agir d'une bronchite, d'une gastro-entérite, d'une métrite, d'infections urinaires, d'un abcès...
DES AFFECTIONS VIRALES
La température du corps du chien peut augmenter pour lutter contre des affections virales comme la maladie de Carré ou la parvovirose.
LES PARASITES
Si votre chien a été mordu par des tiques, il peut souffrir de différentes maladies dont la piroplasmose. Le parasitisme est à considérer lorsque la température augmente.
LES GRANDES INFLAMMATIONS ET LES TROUBLES URINAIRES
Toutes les grandes inflammations déclenchent de la fièvre mais c'est aussi le cas de plusieurs troubles urinaires, comme les infections urinaires voire les pyélonéphrites.
LES INSOLATIONS OU LES COUPS DE CHALEUR
Si votre chien est resté trop longtemps au soleil ou dans une pièce mal aérée, il peut se déshydrater et souffrir d'une insolation ou d'un coup de chaleur. Comme pour les hommes, ces situations déclenchent un mécanisme de fièvre.
Les conseils pour y remédier
Si votre chien a de la fièvre, ne cherchez pas à la faire baisser de manière artificielle. Il convient de mettre le chien dans un endroit calme et confortable pour qu'il puisse se reposer. Éviter les courants d'air, le froid ou les pièces surchauffées. Réduisez légèrement l'alimentation mais laissez-lui de l'eau fraîche à volonté. Prenez sa température de manière régulière et notez les résultats pour les communiquer à votre vétérinaire.
Quand consulter ?
La température du chien augmente lorsque la maladie se généralise. Lorsque la fièvre persiste il faut consulter sans tarder votre vétérinaire. Vous devrez le renseigner sur le comportement anormal de votre chien, lui donner les circonstances et la date des premiers troubles. Votre chien peut manquer d'appétit, ne pas boire, être sujet à des vomissements ou des diarrhées, être abattu...
Puis-je donner un médicament à mon chien pour faire baisser la fièvre ?
Ne donnez jamais d'aspirine ou d'antibiotiques à votre chien sans avoir l'accord préalable de votre vétérinaire. En effet, ils peuvent être contre-indiqués voire aggraver le tableau clinique. De plus, rappelez-vous que votre chien ne parle pas et que les symptômes qu'il présente sont les seuls indices pour votre vétérinaire !